JOURNEE DU 22 MAI 2009 ET WEEKEND

RETROSPECTIVE DE LA SEMAINE:

Cette semaine aura une nouvelle fois été riche en évènements économiques. Tout d'abord ce mardi aux Etats-Unis, les mises en chantier sont ressorties à 458 000 au lieu des 520 000 attendues, et les permis de construire à 494 000 en avril contre 530 000 attendus. Le secteur de la construction américain est donc toujours en net recul en avril. De plus, l'indice ABC de la confiance des consommateurs américains a été publié à -45 cette semaine par rapport à -42 la semaine dernière, ce qui représente un niveau plus bas depuis la mi-janvier 2009. Ce chiffre est venu tarir les bons résultats du géant de de distribution Lowe's, qui avait publié lundi des bénéfices au premier trimestre supérieurs aux attentes témoignant ainsi d'une éventuelle reprise de la consommation américaine et d'une stabilisation des dépenses des ménages américains. Mardi soir, les indices phares américains ont donc clôturé dans le rouge en raison des statistiques économiques décevantes. Mercredi, ce sont les valeurs bancaires américaines qui auront repris le dessus grâce à l'annonce par la Banque of America d'une levé de $13.50 milliards par l'émission d'actions nouvelles. Le directeur général de la banque, Kenneth Lewis, a aussi déclaré que le pire de la crise était bien derrière nous. De plus, le trésorier américain Timothy Geitner a aussi déclaré que le plan de relance voté en octobre dernier, et ayant pour but de racheter aux banques américaines leurs actifs toxiques serait bien opérationnel au cours des 6 prochaines semaines.

En Asie, l'une des nouvelles majeures a été la publication du PIB japonais. Ce dernier est ressorti à-4.0% (Gl.m) et -15.2% (Gl.a). Bien que ce résultat soit supérieur aux attentes, ce chiffre prouve que la contraction de l'économique japonaise s'est accélérée à des niveaux records. Le premier ministre japonais, Taro Aso, a déclaré face au Parlement que les faiblesses du secteur des entreprises et financiers étaient en train de se propager progressivement dans les ménages. Les exportations nippones ont reculé de 26% au premier trimestre 2009. Même si la détérioration de l'économie japonaise semble désormais avoir atteint son apogée, Taso a déclaré que l'économie devrait rester en dépression pour encore un certain temps. De fait, le ¥en aura souffert face aux devises majeures cette semaine.

En Europe les marchés boursiers auront bien accueilli la balance commerciale de la zone euro publiée ce lundi à +0.4 Mrds pour mars au lieu de -0.3 Mrds, et à -1 milliard le mois précédent. Mardi, l'indice Zew du sentiment économique en mars en Allemagne est ressorti bien meilleur que prévu à 31.1 au lieu de 20 attendu. L'indice Zew est aussi ressorti en hausse dans la zone euro à 28.5 en mai au lieu de 18 attendu et 11.8 en avril dernier. Le seul bémol aura été les prix à la production en Allemagne publiés en recul de -1.4% au lieu de 0.0% attendu.

En Grande-Bretagne, le rapport de la banque d'Angleterre (Minutes) n'aura rien révélé d'important, si ce n'est le vote unanime de garder le taux directeur de la BoE inchangé, ainsi que le rachat de dettes de l'état britannique pour 50 milliards de livres sterling. Mardi, le chancelier britannique Alistair Darling est apparu très optimiste dans un entretien avec le Times, en affirmant que la récession devrait s'achever au dernier trimestre 2009. Il a confirmé que la croissance britannique devrait atteindre 1.25% en 2010 après une contraction de 3.5% cette année.
Sur le marchés des changes, les annonces économiques européennes rassurantes auront profité à l'euro cette semaine. En effet, le cours EUR/USD s'apprécie de plus de 550 pips depuis lundi d'un plus bas à 1.3420$, le cross se négocie actuellement au-dessus des 1.3970$. Le cours EUR/GBP se traite à la baisse depuis le début de semaine. L'euro cède progressivement du terrain face au sterling, et la paire s'oriente vers les 0.8750£. La livre aura également pu bénéficier de la faiblesse du dollar U.S cette semaine. En effet, le cours GBP/USD est parvenu à atteindre des niveaux plus hauts que prévus depuis début 2009. Le câble gagne près de 800 pips cette semaine, à un plus haut actuellement à 1.5950$. Face au ¥en, la livre s'apprécie également fortement cette semaine. Le GBP/JPY passe des 143.0¥ à 149.50¥.

Sur le marché des matières premières, à noter l'évolution du prix du barril qui se traite actuellement à plus de 60 dollars le barril à 61.55$. Cette hausse continue depuis le début du mois de mai s'explique notamment par la dépréciation du billet vert. Si la tendance se poursuit, le cours pourrait atteindre les 70 dollars dans les prochains mois.

La semaine prochaine, nous serons notamment attentifs aux chiffres macroéconomiques relatifs au chômage en Europe et aux Etats-Unis. La parution du taux de chômage prévue jeudi et vendredi prochains donnera un aperçu de la reprise économique mondiale en termes d'emploi et d'activité économique.

La Masi a reculé de 0,78% et le Madex de 0,84%

Après quatre séances dans le vert, la Bourse de Casablanca a enregistré une baisse lors de la séance du vendredi 22 mai.
Le Masi a reculé de 0,78% à 11 152,47 points et le Madex de 0,84% à 9 150,97. Les performances depuis le début de l’année se situent respectivement à 1,53% et 0,99%.
Le volume des transactions s'est établi à 298 MDH, échangé totalement sur le marché central.
Les plus fortes hausses ont été enregistrées par Nexans Maroc avec 5,98%, à 239,25 DH, Managem avec 5,98%, à 288,7 DH et Oulmès avec 5,91%, à 609 DH. Les plus fortes baisses ont été concédées par Zellidja avec 5,76%, à 1 129 DH, Fertima avec 5,19% à 265 DH et Acred avec 4,48%, à 640 DH.

LE PRINTEMPS DES ACTIONS:

Depuis leur point bas du 9 mars dernier, les marchés Actions ont rebondi de près de 30%; le Dow Jones réalisant à l’occasion son plus fort rallye d’après guerre.
Ce grand bond en avant marque-t-il pour autant la fin du marché baissier ?
Ceci n’est pas nécessairement le cas, car les récessions doublées d’une crise financière sévère laissent généralement des traces durables.
Ainsi, selon Carmen M. Reinhart et Kenneth S. Rogoff, deux spécialistes des cycles du National Bureau of Economic Research, enseignants à l'Université du Maryland et de Harvard, qui ont étudié une vingtaine de cas analogues de par le monde depuis les années trente, de telles crises engendrent généralement trois types de conséquences :
- une baisse forte et prolongée du prix des actifs, avec en moyenne, du pic au creux, -36% sur les cours réels de l'immobilier et -56% sur celui des actions sur une durée respective de 6,0 et 3,4 ans,
- une profonde dégradation de la production (-9% pour le
PIB par tête sur une durée moyenne de 1,9 ans) et de l’emploi ( 700 bips sur une durée moyenne de 4.8 ans),
- et une envolée spectaculaire de la dette publique ( 86% en 3 ans). Seize mois après l’entrée en récession de l’économie américaine, il nous a donc semblé intéressant de mesurer où celle-ci se situait par rapport aux différents critères identifiés lors des crises précédentes.
En matière de chute des prix d’actifs, la crise actuelle est particulièrement sévère car, avec -34% du pic au creux sur l’immobilier US et -56% sur les actions, ces classes d’actifs ont déjà atteint la baisse moyenne des autres crises, mais dans un laps de temps deux fois plus court.
En revanche, sur les autres critères, comme la dégradation de la production et de l’emploi, et à fortiori l’envolée de la dette publique, la crise ne serait encore qu’à peine à michemin.
Dans ce contexte, il nous semble prématuré de considérer ce rallye comme le prélude à un véritable marché haussier, et pour impressionnant qu’il soit, il s’agit plus vraisemblablement d’un rallye de marché baissier.
En revanche, comme l’environnement macro économique devrait tendanciellement s’améliorer au cours des prochains mois, ce rallye pourrait continuer un certain temps, d’autant que jusqu’à présent, et malgré la baisse de l’aversion au risque, cette hausse s’est accomplie dans des volumes limités.
Toutefois, comme au-delà de l’impact à court terme de la désinflation, de la fin du déstockage et des mesures procycliques, le potentiel de rebond de l’économie apparaît limité, ce rallye demeure intrinsèquement fragile. Il conviendra dès lors de demeurer vigilant sur tout signe
d’inflexion macroéconomique ainsi que sur la teneur du message des entreprises quant à leurs perspectives des 3ème et 4ème trimestres.

Delphine Georges - Ibra Wane

[size=18]BONJOUR A VOUS TOUS ET BIENVENUE A TOUS LES NOUVEAUX MEMBRES DU FORUM.

PROFITONS DU WEEKEND POUR SE DETENDRE, SE DISTRAIRE ET RIRE EN LAISSANT DE COTE LE STRESS BOURSIER.

LE RIRE EST-IL MORAL ?

Si une bonne part de l'humanité cherche son bonheur - jusqu'a l'espoir de la plenitude sereine - à travers un comportement moral, une autre part certainement plus importante encore cherche à fuir la souffrance - physique mais surtout psychique - grace à l'humour, à son regard distancié et ironique. S'agit-il, en ce cas, reelement de cynisme; ou bien le rire peut-il se detacher, pour certain, d'un nihilisme cynique ?

De quoi ne pourrait-on rire ? L'experience seule est-elle capable de voiler entierement le comique qui semble pourtant pouvoir emerger de n'importe quelle situation - de toute souffrance et de tout drame ? Ce n'est pas le cas pour tout individu, et comme je l'ai dis, beaucoup rient de leurs destins et de leurs misères - soit dès que celles-ci sont passées, soi, pour les plus detachés, des le moment ou elles parraissent. Pourtant, le moraliste sait que rire de la misère éloigne de la compassion, et que cela peut s'apparenter à une fuite resignée qui consiste à desesperer gaiement. Le rire semble decidement immorale - au mieux, ou peut être au pire, amoral.

1-Néanmoins, le rire est source de prise de conscience qui peuvent améliorer l'individu. Le rire possède cette etrange dualité: il faudrait rire de soi avant tout, cela comme moyen peu douloureux pour comprendre nos defauts, notre fatuité ou l'aspect derisoire de nos certitudes; et pourtant le rire des autres, lorsque l'on porte au ridicule ou au moins au risible, à bien plus de chance de nous renfermer sur nous meme plutot qu'a faciliter la prise de conscience de soi, du comique que notre identité renferme et que nos comportements créent. Pourtant le rire d'autrui devrait et peut servir de revélateur, et nous amener à rire de nous meme; encore que certain rires blessent plus que d'autres. Le rire anonyme de la foule doit être horriblement dur a accepter et servir bien moins à l'introspection qu'a la colère ou l'humiliation; celui d'un ami est celui de quelqu'un qui, quoiqu'il rit de nous, nous apprecie.
Mais si le rire porte en lui, intrasecquement, l'acte de jugement, alors meme ses pretendus vertues ne peuvent être considérées comme fondées sur la moralité. Car le jugement que semble porter le rire est cruelement orgeuilleux; et celui qui rit s'amuse et se ravit surement de sa superiorité ponctuelle, avec une prompt arrogance.

Et pourtant, il y a une chose qui différencie le rieur - qui risque d'apparaitre pédant - du triste guerrier du bon - qui peut parraitre chercher la souffrance et la misère: c'est la considération du serieux. Celui qui peut rire de tout, c'est celui pour qui rien n'est vraiment serieux; celui qui se refuse d'approcher toute considération comique sur un sujet est celui qui estime ce sujet réelement serieux.

2--La question devient: Existe il des choses serieuses - à tel point qu'on ne doit aucunement rire à son sujet ?

Lorsque l'on parvient a s'amuser de quelque chose pourtant tragique - un quelconque tsunamis, un genocide ou plus simplement le magistral drame la de la politique - c'est que l'on affirme quelque part que ceci, qui se pretend être une chose serieuse, ne l'est finalement pas entierement, puisque l'on peut dire toute sorte de plaisenteries à son sujet plutot que de reciter de tristes quantiques.
C'est ici que rire me semble malgrés tout possèder quelque qualités citoyennes et republicaines. Le rire est souvent critique - nous avons deja dit qu'il était certainement jugement - et lorsqu'il porte sur nos gouvernements il dénonce le tragi-comique des evenements et des decisions politiques. Se moquer des excées et des dérapages ostentatoires de ceux qui sont hautement responsables de la situation sociale et donc en partie de nos propres situations, c'est controler et certainement limiter dans une certaine mesure l'extravagante debauche de nos puissants. C'est, grace aux medias, la possibilité pour la population de comprendre par l'humour l'aspect revoltant de ce qui est critiqué. Mais si cette critique, toujours severe, qu'inflige l'humour aux tres serieuses delibérations politiques, devoile l'ampleur catastrophique de l'illusion democratique et republicaine, ce rire n'ettouffe t il pas pourtant la contestation et la rebellion. L'aspect comique de l'information revoltante peut il favoriser le changement suite a la prise de conscience, ou n'engendre t il qu'une certaine forme de cynisme resolu "à la tres satisfaisante contemplation philosophique (ici humoristique) plutot qu'au changement" ? Comprendre l'illusion, est-ce toujours devenir desillusionné, ou cela peut il permettre une praxis de la contestation ?

3-Il est assez evident que le rire a des aspects si nombreux qu'il est impossible a ma seul raison d'en tirer quelque chose de clair. Il adresse de multiples facons des messages aussi nombreux a tout autant d'individus - de qui rit on, en effet, lorsque l'on rit de la société ? d'un pays, des vieux ou d'un idiot ? Car l'on participe a ce qu'est la société, c'est une chance que de devenir vieu et l'idiot n'est il pas celui qui rit - ignorant jusqu'a sa presomptueuse fatuité. Si le rire est critique, il est aussi le temoignage de notre sentiment de superiorité, rarement justifié. Néanmoins, celui qui rit de lui meme peut il s'interdire de rire des autres ? N'est ce pas la l'unique moyen de ne pas se deconsidérer face a ses proches que de s'amuser de leurs idioties si d'autre part l'on se moque des siennes ?
Le rire est evidement - et tous pouvons le pressentir - d'une ambiguité qui rarement se rencontre aussi pure. Sait on jamais de quoi rit celui qui gemit, que signifie ces bruits saccadés ? Le sait il lui meme ? Savons nous de quoi nous rions lorsque nous rions ? Nous pouvons aisément, dans la plupart des cas tout du moins, savoir quel propos ou quelle situation nous a amusé - et pourtant j'aurais bien du mal a definir ou est et en quoi consiste le comique de ce qui m'amuse. Le rire est a proprement parler involontaire, et bien qu'il puisse d'une certaine maniere se maitriser, il surgit en nous comme quelque chose d'inconscient, et nous ne serions designer ni expliquer l'humour à celui qui n'y comprendrait rien. De plus, le rire est drolement contagieux, et il arrive a tous d'avoir rie sans raison, si ce n'est le rire follement communicatif d'un autre.


La condamnation morale du rire peut donc paraitre deraisonnable, en cela que l'on exige ce qui n'est pas entierement controlé par l'individu. D'ailleur, si le rieur juge par quelque sorte en s'amuant, le moraliste juge les rieurs par leurs consternations. Et qui serait pretendre savoir lequels de ces jugements - du consterné ou de l'amusé - est le plus injuste ou le plus immoral ?

Juste une anecdote

Bonjour et bon weekend

Tout d'abord je remercie vivement Mr BimConex pour ses efforts louables pour annimer le forum. Les sujets traités sont universels et consistant en informations.

Bonne continuation.

RIRE, RIRE ET NE VOUS STRESSEZ JAMAIS:

Deux hommes n'ont pas d'argent et ont faim.
Le premier a une idée... Il met un cafard dans sa poche, va dans un restaurant et se fait servir un copieux repas. A la fin, il demande une soupe et met le cafard dedans. Il appelle ensuite le serveur et lui dit:
- C’est quoi ça, c’est quoi ça ?
Le serveur, très gêné, lui fait cadeau du repas.

Alors, le deuxième homme fait pareil et demande une soupe à la fin de son repas.
Malheureusement, le serveur lui annonce qu’il n’y en a plus. L’homme dit alors:
- Où est-ce que je vais mettre mon cafard, alors ?

DEVINETTE

Je suis au bout du jardin, je commence la nuit, je finis le matin et je suis deux fois dans l'année. Qui suis-je?

LE FOOTING:

En ce moment je donne pas mal question footing, c'est un bon sport pour en faire d'autres. Ma petite expérience, 10 ans de footing.

Quelques règles que je m'applique :

- progressivité, ne jamais passer de zéro à deux heures de footing la même semaine à fortiori le même jour. Tu trouveras des tables d'entraînement sur le net. en fonction de ton âge et ton poids, de 20' deux fois par semaine, en espaçant la scéance d'une journée blanche. Puis tu augmentes de 10' par semaine. Puis au bout d'un mois tu peux ajouter une journée, ainsi de suite. Ne jamais démarrer très fort en début de scéance, les premières 10' se font en trottinant.
- de bonnes chaussures que l'on change tous les 1 à 2 ans.
- le poids est l'ennemi du footing et vice versa. Trop de poids te fait perdre de la vitesse, t'augmente la fréquence cardiaque. Mais le footing t'aide à garder ou acquérir le bon poids.
- Pour garder seule la forme (pas d'objectif de performance et perte de poids), ne pas aller vite, j'utilise un cardio (75% de fréquence cardiaque maxi) mais ce n'est pas obligatoire. Un truc pour ne pas aller trop vite, au bout de deux mois de footing tu dois pouvoir réver à tes bricolages en courant, comme en marchant. Si tu dois te concentrer sur ta course c'est que tu vas trop vite.

Quelques étirements avant un exercice physique augmenteraient la souplesse:

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, faire de légers étirements avant de pratiquer une activité sportive n'affaiblirait pas les muscles et les articulations. Au contraire, d'après une étude publiée dans la revue Medicine and Science in sports and exercice, de tels étirements augmenteraient temporairement l'amplitude des articulations, sans pour autant altérer la puissance des muscles.

Ces travaux ont été réalisés auprès de volontaires, qui ont subi des séances d'étirement des chevilles de quatre à huit minutes, avant de faire un peu d'exercice.

Les résultats montrent que ces étirements ne diminuent en rien la puissance musculaire, mais améliorent la souplesse de la cheville. Selon les auteurs de l'étude, chez des personnes qui pratiquent une activité sportive modérée, faire des étirements durant moins de huit à dix minutes avant de faire du sport serait un bon moyen de travailler sa souplesse.

Les vertus reconnues d'une consommation régulière et modérée de chocolat noir:

Action euphorisante, anti-déprime et anti-fatigue
Stimulation du cerveau et protection contre le vieillissement cellulaire
Diminution du risque de maladie cardiaque
Action anticoagulante, comme l'aspirine

وقل ربي زدني علما ومعرفةََ

Happening pour arrêter de fumer le 28 mai à la Défense:

La Fédération française de cardiologie (FFC), le Comité contre les maladies respiratoires (CNMR) et le laboratoire Pfizer invitent les fumeurs à éteindre leur dernier mégot le 28 mai, entre 13 et 14 heures, sur le parvis de la Défense, près de Paris. Principe de l'opération : arrêter de fumer en public, "devant témoins", dans un espace de 400 m² mis en place dans le quartier d'affaire. Un coaching sur Internet apporte de l'aide pour arrêter définitivement de fumer.

Lors de ce happening, les participants sont invités à joindre à leurs mégots une citation personnelle, écrite sur papier. Les mégots et les citations seront réutilisés par l'artiste français Maxime Rossi, pour constituer une oeuvre d'art présentée sous une cloche géante d'ici fin 2009.

Les fumeurs voulant arrêter la cigarette peuvent s'inscrire pour participer à cette opération, sur le site Prevention-tabac.com. Une fonction de ce site permet au fumeur d'annoncer à ses proches sa volonté d'arrêter de fumer, par l'envoi d'un message personnalisé.

Un coaching "LifeRewards" présentant les bénéfices de l'arrêt du tabac sur la santé jour après jour est également proposé.

Le tabagisme est directement responsable de 60.000 décès par an en France. Un fumeur sur deux décède d'une maladie favorisée par le tabagisme. Le tabagisme passif serait également à l'origine de nombreux décès prématurés.

Les fumeurs meurent en moyenne dix ans plus tôt que les non-fumeurs, selon des informations fournies par la Fédération française de cardiologie (FFC), le Comité contre les maladies respiratoires (CNMR) et le laboratoire Pfizer.

رَبَّنَا وَلَا تُحَمِّلْنَا مَا لَا طَاقَةَ لَنَا بِهِ ۖ وَاعْفُ عَنَّا وَاغْفِرْ لَنَا وَارْحَمْنَا

صدق الله العظيم

Le baccalauréat, une vهielle histoire:

Si j’étais ministre de l’Education nationale, je chuchoterais à l’oreille des uns, et acrocherais les oreilles de certains avec un bon nombre de réformes. L’une de ces réformes, dont j’ai « murement » réfléchi, est la suppression, la réformation du baccalauréat. Certain crieront au scandale, d’autres s’exalteront de cette nouvelle.

Le baccalauréat, tant de tests par nos étudiants, mais tant défendus par eux-mêmes :

A chaque occasion, les ministres de tous les pays pour faire face aux étudiants en colères, révoltés par la simple évocation d’un remaniement, d’une réforme du baccalauréat.

Les jeunes ont alors manifesté, fait acte de grève pour enfin voir ces réformes abandonnées, laissées aux oubliettes. Les jeunes, étudiants ne font-ils pas preuve d’un léger soupçon de conservatisme à l’égard de ce diplôme ?

Pour rappel historique, le baccalauréat a été créé par Napoléon Ier en 1808. Certains parlent même d’une origine plus profonde, remontant au Moyen âge à l’université de Paris. Quoi qu’il en soit, le baccalauréat dans sa forme moderne a fêté ses 200 ans en 2008. Le bac n’aurait-il pas pris quelques rides ? N’a-t-il pas perdu fortement de sa valeur ?

La valeur est définie par la rareté du produit, du service : en France et en 1936, un taux de réussite inférieur à 3 %. Soixante-dix ans plus tard, un taux de réussite s’élevant à 83,3 %. Un miracle ou une baisse des exigences ? Des génies par milliers faisant exploser les statistiques ?

Même sur une année, le nombre de génies croissant se fait ressentir.

Meeting international Mohammed VI : Une pléiade d'athlètes de renommée mondiale à Rabat

Samedi, tous les regards sont tournés vers le Meeting international Mohammed VI. Il s'agit d'un événement tant attendu puisque cette deuxième édition de ce grand rendez-vous athlétique réunira une pléiade d'athlètes de renommée mondiale ainsi que des champions marocains aguerris.
Après la désignation du Maroc pour abriter la finale mondiale en 2010, la Fédération royale marocaine d'athlétisme (FRMA) compte prouver à l'IAAF que le pays est à la hauteur des attentes. Et pour cela, l'instance fédérale gérant ce sport n'a ménagé aucun effort pour que le Meeting international Mohammed VI soit digne des grandes réunions internationales d'athlétisme.
L'édition 2009 sera ainsi marquée par la participation d'athlètes ayant atteint le sommet de leur carrière à Pékin avec la consécration olympique, dont le Kenyan Wilfred Bungei, médaillé d'or sur le 800m, sa compatriote Pamela Jelimo, sacrée sur la même distance, la Britannique Christine Ohuruog, vainqueur du 400m, et l'Estonien Gerd Canter, détenteur de l'or du lancer du disque. Seront de la partie également l'Ukrainienne Irina Lishchinska, vice-championne olympique du 1.500m, la Sud-africaine Godfrey Mokoena, médaillée d'argent du saut en longueur, en plus de la championne marocaine Hasna Benhassi (800m), médaillée de bronze en 2008 et d'argent en 2004, ainsi que le Kenyan Richard Mateelong, qui a gagné le bronze du 3.000m steeple.

Le Matin du Sahara