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Message  Admin Mar 19 Mai - 6:56

L’ONA sort ses comptes trimestriels

· En progrès: Optorg, Sopriam, Wana, Centrale Laitière, Bimo…

· En recul: les minières, Onapar, Cosumar, Marjane-Acima…

Après Maroc Telecom (parce qu’il est coté à Paris, voir notre page Bourse), c’est l’ONA qui publie des comptes trimestriels, ce qui n’est pas une obligation légale au Maroc. A fin mars 2009, la holding affiche un chiffre d’affaires consolidé en croissance de 4,6% par rapport à janvier-mars 2008, soit 8,7 milliards de DH contre 8,3 milliards pour la même période de 2008. Les activités télécoms et distribution sont les principaux artisans de cette embellie. Celle-ci n’a cependant pas touché tous les segments d’activité du groupe.
Ainsi, au cours du premier trimestre 2009, les mines ont connu un recul de leur CA de 7,7%. Un résultat dû à «la baisse des métaux précieux, le repli du cours des métaux de base suite au recul de la demande mondiale, ainsi que l’augmentation des volumes de production, notamment pour l’or, l’argent et la fluorine», indique l’ONA. L’exploitation du chantier de Tighardine a été suspendue suite à la forte baisse du cours du cuivre. Toutefois, une amélioration de la production d’or est à constater, «suite à la hausse du tonnage traité et à l’amélioration des opérations de couverture. «Le site d’Imiter a également connu une hausse de sa teneur en argent».
Pour l’agroalimentaire, le CA a progressé de 0,8% à 3,6 milliards de DH, grâce à la progression du CA de Central Laitière (+7%) et de Bimo (+26%), compensant ainsi le ralentissement de la croissance des résultats de Cosumar, les fortes précipitations du mois de janvier 2009 ayant provoqué l’inondation de centaines d’hectares dédiés aux cultures sucrières. Afin de combler le déficit, Cosumar a eu recours au raffinage de sucre brut.
Au niveau de la distribution, le CA consolidé a augmenté de 4% à 3,9 milliards de DH, grâce à la forte progression du CA consolidé d’Optorg (+18%), qui passe de 1,1 à 1,3 milliard de DH. La grande distribution affiche un recul de -3%, passant de 2,1 à 2 milliards. L’activité continue de s’étendre, avec l’ouverture de deux supermarchés Acima au cours du premier trimestre 2009(Agadir Aït Melloul et Tanger Andalucia). A fin mars 2009, le groupe totalise 17 hypermarchés Marjane et 30 supermarchés Acima. Pour sa part, Sopriam augmente ses ventes de 2%, et améliore sa part de marché de 0,2 point à 15,8% à fin mars 2009.
Les télécoms connaissent une hausse de 93,3% à 578,8 millions de DH à fin mars 2009 de leur CA, grâce notamment à la hausse des revenus voix fixe et mobile de 57,4%. A fin mars 2009, Wana compte 1,8 million d’abonnés (tous segments confondus), soit +30,8% par rapport à fin mars 2008. L’opérateur s’assure une part de marché de 64,49% sur l’offre mobile 3G. Le CA des activités financières augmente de 8,2% à 29,3 millions de DH, suite à l’amélioration du taux moyen de commission d’Agma Lahlou-Tazi. Attijariwafa bank étant consolidée par mise en équivalence, elle ne contribue pas au résutat consolidé du groupe.
L’immobilier, représenté par Onapar, affiche un recul de 72,7% de ses résultats. La filiale demeure affectée par le ralentissement du marché de l’immobilier de luxe, principal segment de son activité.

A. B.
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Message  Admin Mer 20 Mai - 1:12

Brouillées:
L’information la plus importante de ces derniers jours n’est sans doute pas dans la polémique autour de la transhumance. Elle est plutôt dans celle qui pourrait pointer sur les chiffres de l’emploi et du chômage.
L’histoire retiendra qu’au moment où plusieurs secteurs au Maroc donnent des indices de ralentissement, certains chiffres envoient des signaux contradictoires. D’abord il y a ces indicateurs de la CNSS qui pourraient être hélas la confirmation officielle que la crise est bien là et qu’elle est pour certaines entreprises privées d’une violence inouïe. Plus de 31.000 emplois perdus pour le seul mois de février qui plus est dans des activités jusque-là épargnées: BTP, hôtellerie… Cela fait longtemps que le Maroc n’avait pas connu cela. Il y a en contrepartie ces étranges chiffres du HCP qui nous annoncent un chômage stable, voire de la création d’emplois dans les secteurs précédemment cités. Cet organisme a peut-être des arguments à faire valoir. Mais difficile de le savoir tant que les méthodologies ne sont pas suffisamment détaillées.
Faut-il accueillir les dernières statistiques officielles sur le chômage avec surprise ou avec ironie et comment l’opinion devrait-elle comprendre ces deux messages? Le HCP n’est certes pas à sa première polémique sur le taux de chômage. C’est bien cet indicateur et ce même organisme qui était, il y a quatre ans, au coeur des divergences sur les prévisions économiques entre le Premier ministre de l’époque, Jettou, et Lahlimi. Il est illusoire d’anticiper un bras de fer bis repetita, la donne politique ayant changé depuis. En revanche, aujourd’hui la différence c’est que les enjeux sont nettement plus sensibles puisque c’est la pertinence du diagnostic qui conditionnera la qualité de notre réaction dans la conjoncture actuelle. Et, il faut le reconnaître, les grilles d’analyse sont un peu brouillées en ce moment.

Mohamed Benabid
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COIN DE LA PRESSE MAROCAINE ET INTERNATIONALES Empty DEUX VIEILLES MALADIES FRANCAISES

Message  Admin Ven 22 Mai - 2:45

Dette et chômage : le retour


Il était venu pour rompre avec le passé et lancer la France dans l'avenir, le voilà replongé quinze ans en arrière, face à deux vieilles maladies françaises : le chômage et le déficit. Son activisme, sa légèreté de hussard aussi, correspondaient au défi de l'offensive réformatrice. Du moins tel a été le sens du vote des Français, il y a deux ans. Nicolas Sarkozy a-t-il les qualités pour devenir chirurgien chef de l'hôpital de guerre, durant les trois ans qu'il reste à son quinquennat ?

Le chômage baissait depuis 2006, il remonte en flèche. La récession fauche net 80.000 à 100.000 emplois par mois. A ce rythme, le taux de sans-emploi approchera les 10 % en fin d'année et il montera à 11 % en 2010, selon l'OCDE. La France comptera alors pas loin de 3 millions de chômeurs, record historique. Le déficit des finances publiques est passé de 2,7 % du PIB en 2007 à 3,4 % en 2008. Il glissera au-delà de 6 % en 2009 et approchera 8 % en 2010. Record historique aussi. La dette publique, 63,8 % du PIB en 2007, s'est alourdie à 68,1 % en 2008 et risque de peser 80 % en 2010, record historique pulvérisé.

La France n'est pas seule dans ce drame. Tous les pays sont touchés par la crise, la pire depuis 1929. Le chômage aura doublé aux Etats-Unis en trois ans pour monter à 10,3 % en 2010. En Europe, il atteindrait en moyenne 11,7 % de la population active en 2010, selon l'OCDE.

Dans les pays riches, les coûts des plans de relance, des plans de sauvetage des banques et le jeu des stabilisateurs automatiques (pertes de recettes budgétaires et accroissement des allocations sociales) vont augmenter la dette de 20 points de PIB, selon Laurence Boone, économiste de Barclays Capital. Elle annonce : « Les finances publiques vont devenir le sujet dominant de ces prochaines années. » (www.telos-eu.com.) Mais la France a ceci de singulier de s'être comme prise d'affection pour ces deux afflictions, sa « préférence » pour le chômage et la dette. Tandis que les autres pays en étaient venus à bout, elle venait à peine de commencer à les réduire. Le chômage, on l'a dit, ne recule que depuis 2006. Les comptes publics sont dans le rouge depuis trente-cinq ans et l'austérité est considérée comme un gros mot. Ce n'est que depuis 2006, même date, que la dette se rétracte et encore à vitesse d'escargot.

Nous voici à nouveau vingt ans en arrière, peut-on guérir cette fois plus vite de nos vieilles maladies ? Pas facilement. La conjoncture s'améliorera dans la deuxième partie de l'année ou au début 2010 mais elle ne semble pas devoir repartir solidement. Une répétition de la Grande Dépression a été évitée mais la croissance restera très faible pour beaucoup de raisons dont deux principales : le basculement des consommateurs américains vers l'épargne et l'impuissance des gouvernements (en vérité de leur manque de volonté) à nettoyer rapidement les bilans des banques. Or, une croissance lente ne suffira pas à faire repartir l'emploi et à résorber les déficits.

Patrick Artus, économiste en chef de Natixis, craint « un cercle vicieux » : une croissance faible creuse l'endettement, lequel force à accroître les impôts, ce qui diminue encore la croissance « potentielle », etc. Il demande des plans de relance qui augmentent la recherche-développement et fortifient les industries nouvelles mais déplore que la France ait consacré trop de ses milliards à refaire les routes et les ronds-points.

En outre, ajoute Laurence Boone en tirant le bilan des deux premières années du quinquennat : « Les ambitions de départ des réformes structurelles ont été révisées à la baisse » et le « potentiel » de la croissance française ne s'est pas accru, alors même que le coût de ces réformes a beaucoup gonflé.

Autrement dit, la France ne se retrouve pas en meilleure position qu'il y a dix ans. Le gouvernement se flatte d'une bonne gestion de la crise, pragmatique et « sans bêtise » qui a permis au pays de souffrir un peu moins que les autres. Peut-être. Mais le défi sera, demain, tout autre : éviter qu'elle ne reste souffreteuse encore dix ans. La nouvelle lutte contre les vieilles maladies imposera une ordonnance claire contre le chômage, pour l'instant le gouvernement ne sait que faire, et des médecines fortes contre la dette alors qu' il croit encore en l'homéopathie.
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Message  Admin Sam 23 Mai - 15:41

Les matières premières ne sont qu'au début d'une grande vague de hausse:

L'inflation française au plus bas depuis un demi-siècle", titrait hier. Le Figaro Après avoir dépassé les 3,5% en mai et juin 2008, elle est depuis en chute libre, et a atteint les 0,1% en avril dernier.
Avant de nous jeter dans le premier magasin venu pour assouvir nos pulsions acheteuses, nous avons tout de même préféré regarder ces chiffres avec un peu d'attention. Car outre l'habituelle bataille d'experts autour du calcul de l'inflation, l'examen de l'inflation hors énergie et produits alimentaires a fini par modérer nos ardeurs. En effet, une fois corrigée de l'alimentaire et du pétrole, l'inflation est simplement passée d'un peu plus de 2% à son maximum en août et septembre 2008 à 1,6% en avril dernier. Pas vraiment de quoi se réjouir...
Mais c'est surtout la perspective d'un énorme retour de bâton, j'ai nommé l'hyper-inflation, qui nous a fait frémir. Pour sortir de la crise, les gouvernements se sont lancés dans une course bien particulière : la course à l'endettement. D'insondables abîmes de dettes sont creusés en ce moment même.
Pour rembourser cette dette, deux solutions. Soit les Etats augmentent l'imposition – une solution jamais très populaire –, soit ils favorisent l'inflation avec l'aide des banques centrales, en croisant les doigts pour qu'elle ne dégénère pas en hyper-inflation.
Vous tremblez, cher lecteur ? Ne vous inquiétez pas, car comme me le disait Isabelle Mouilleseaux, s'il y a bien un secteur qui profite toujours de l'inflation, c'est les matières premières. Il est en effet le seul – avec l'immobilier – à pouvoir protéger votre portefeuille des ravages d'une inflation galopante. Quand la monnaie est progressivement rongée, les matières premières servent de refuge.
En ce moment les matières premières se portent très bien. Depuis fin 2008, les métaux de base ont pris entre 30 et 50%. Même chose pour les matières premières agricoles. Voici ce que, par exemple, disait Isabelle sur le sucre dans L'Edito Matières Premières & Devises : "Le sucre nous gratifie d'une très belle remontée depuis le début de l'année, s'adjugeant quelque 45%. Pourquoi ce retour en force du sucre sur le devant de la scène ?
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Message  Admin Dim 24 Mai - 4:07

L’Economiste (quotidien indépendant )

Titrisation : 500 milliards de dirhams éligibles

Crise ou pas, la titrisation attire toujours. Aujourd’hui, les principaux pays industrialisés, notamment les Etats Unis d’Amérique et la France, comptent sur cet instrument pour en sortir. En témoigne le lancement d’un certain nombre de programmes économiques comme celui de l’administration américaine qui a versé 1.000 milliards de dollars pour relancer et encourager la titrisation. «C’est dire toute l’importance que revêt cet instrument pour relancer la croissance», indique Hicham Karzazi, DG de Maghreb Titrisation, lors d’une conférence sur ce thème. Une manifestation qui coïncide avec la nouvelle réglementation. Lancée en 2002 au Maroc suite à la promulgation de la loi 10-98 relative à la titrisation des créances hypothécaires, la titrisation a été introduite par les pouvoirs publics suite aux recommandations de la Banque mondiale et du FMI pour soutenir la politique des 200.000 logements. Le contexte est, aujourd’hui, différent. Compte tenu de la baisse des recettes de privatisation, de la politique des grands chantiers, du resserrement de la liquidité bancaire, de l’entrée en vigueur de règles prudentielles plus rigoureuses et de l’augmentation des financements par dette privée, une nouvelle loi (33-06) a été votée par les deux chambres du parlement, pour faire de la titrisation un levier de dynamisation de l’investissement et de développement des secteurs économiques vitaux, avec des règles de fonctionnement souples et sécurisantes (…) Les professionnels prédisent, à ce marché, un avenir prometteur. En effet, ce sont près de 500 milliards de Dh de créances qui seront éligibles à la titrisation. Et pas moins de deux fonds totalisant 2 à 3 milliards de Dh sont en cours de structuration en 2009. Et pour cause, les besoins sont de plus en plus importants, notamment en termes de financements de projets et au niveau du manque de liquidités des banques. Des banques qui pourront, dès l’application de la loi, lever des fonds à des conditions plus avantageuses que la dette classique. Et sans compromettre leur solvabilité.
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Message  Admin Dim 24 Mai - 4:10

Libération (Organe de l’USFP)

Mawazine Rythmes du monde: Clôture en toute beauté avec Stevie Wonder et Alicia Keys

Dans le cadre de la 8ème édition du Festival Mawazine rythmes du monde, les deux grandes stars américaines, Stevie Wonder et Alicia Keys ont donné, hier à la villa des arts de Rabat, deux conférences de presse.
A la veille de son concert unique qui s’annonce déjà comme exceptionnel, prévu aujourd’hui sur la scène OLM Souissi, le multi-instrumentiste aveugle, Stevie Wonder, a exprimé son bonheur quant à sa participation à Mawazine.
"Tout lieu où on peut croiser des gens de différentes races, religions et nationalités ensemble dans une ambiance bon enfant, pour moi, est un lieu où l’on goute à la paix".
Face à une salle comble, le roi de la soul, de son vrai nom Steveland Judkins, évoque les grands défis qui attendent le président américain Barack Obama tels que l’instauration de la paix et la lutte contre la pauvreté dans le monde, entre autres.
Par ailleurs, Stevie Wonder a fait savoir qu’au cours d’une carrière qui s’étend maintenant sur un demi-siècle, la radio a toujours été ses yeux à travers lesquels il voit le monde et ses bouleversements.
Et pour clore sa conférence de presse, Stevie Wonder a choisi de nous offrir de très belles notes de piano, accompagnées par sa voix généreuse. Une heure après, Alicia Keys a donné également une conférence de presse où elle a exprimé sa joie de se produire pour la première fois au Maroc.

Hélas le festival se termine en catastrophe
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COIN DE LA PRESSE MAROCAINE ET INTERNATIONALES Empty Le président de la BAD: L'économie marocaine "se porte très bien"

Message  Admin Ven 29 Mai - 3:03

Le président de la BAD: L'économie marocaine "se porte très bien" en dépit de la crise mondiale:

Rabat-L'économie marocaine "se porte très bien" en dépit de la crise mondiale actuelle, a affirmé jeudi à Rabat le président de la Banque Africaine de Développement (BAD), M. Donald Kaberuka.

"Malgré la crise actuelle, l'économie marocaine se porte très bien" et "tous les indicateurs sont dans le bon sens", a déclaré M. Kaberuka à la presse à l'issue d'un entretien avec le ministre de l'Economie et des finances, M.Salaheddine Mezouar.

"Evidemment c'est un environnement changeant tous les jours, mais jusqu'aujourd'hui je suis impressionné par le travail abattu par le gouvernement marocain", ce qui a permis au pays d'éviter les effets de la crise, notamment au niveau des grands agrégats de l'emploi, des agrégats macroéconomiques et de l'inflation.

"Nous sommes le premier partenaire du Maroc et notre appui concerne tous les secteurs publics et privés", a indiqué M. Kaberuka, ajoutant que la BAD a l'intention d'augmenter davantage ses engagements à l'égard du Maroc.

Les entretiens entre MM. Mezouar et Kaberuka ont permis de passer en revue l'état de la coopération financière entre le Royaume et la BAD, précise un communiqué du ministère.

La crise économique internationale et son impact sur les économies africaines ont été, également, au centre des entretiens entre les deux parties, poursuit la même source.

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COIN DE LA PRESSE MAROCAINE ET INTERNATIONALES Empty La crise financière internationale n'a eu que de faibles répercussions sur le Maroc

Message  Admin Ven 29 Mai - 3:06

La crise financière internationale n'a eu que de faibles répercussions sur le Maroc (ministre):

Fès- Le ministre du Commerce extérieur, M. Abdellatif Maâzouz a souligné, jeudi à Fès, que la crise financière internationale n'a eu que de faibles répercussions sur le Maroc.

"Le Maroc n'a été que faiblement touché par la crise financière internationale, laquelle a engendré l'actuelle crise économique mondiale qui n'a épargné aucun pays", a dit le ministre lors d'une séance plénière du forum de Fès sur l'Union pour la Méditerranée, ouvert mercredi dans la capitale spirituelle du Royaume.

Le ministre a ajouté que le Royaume a été épargné dans la mesure où ses banques n'ont pas eu à souffrir des actifs toxiques qui ont provoqué des ravages dans d'autres pays et où la confiance entre banques et clientèle n'a pas été entamée, comme le prouve le taux de croissance ascendant de distribution des crédits bancaires.

Il a en outre fait savoir que les répercussions de la crise économique se font de plus sentir au niveau de la balance des paiements, des transferts des Marocains résidant à l'étranger et de certains secteurs industriels, du tourisme et des investissements directs étrangers.

M. Maâzouz a, toutefois, estimé que le Maroc se trouve dans une situation meilleure que d'autres pays, précisant que ses réserves de change suffisent à couvrir entre 6,5 et 7 mois d'importations.

Face à cette situation, le Maroc a décidé de poursuivre, d'une part, la réalisation des grands chantiers structurants en cours et, d'autre part, d'agir pour atténuer les répercussions de cette crise, a-t-il d fait savoir.

Et d'ajouter que des mesures ont été prises pour aider les entreprises à préserver leurs ressources humaines et promouvoir la formation des personnels en oisiveté professionnelle.

Au niveau commercial, l'effort déployé devra aider le Maroc à maintenir sa position au sein des marchés traditionnels tout en cherchant à diversifier ses produits et ses débouchés, a expliqué le ministre, estimant que cette politique a commencé à donner ses fruits puisque l'on table cette année sur un taux de croissance encourageant de l'économie du pays.

Abondant dans le même ordre d'idées, M. Jean Louis Reiffers, président du Forum euroméditerranéen des instituts de sciences économiques (FEMISE), a indiqué que la crise mondiale a eu des effets relativement atténués sur les pays méditerranéens partenaires de l'Europe, du fait que leurs banques sont peu exposées à cette crise.

Il a toutefois estimé que le choc de cette crise va certainement se manifester au cours des années 2009 et 2010 avec la dépression mondiale.

Ce choc sera retransmis à travers divers canaux dont les exportations qui vont souffrir de la baisse de la demande interne européenne, le tourisme et les revenus des travailleurs émigrés, première victime de la montée du chômage en Europe, a-t-il dit.

Devant cette situation, il a émis l'espoir de voir la relance de l'UPM contribuer à favoriser des projets d'investissement bénéfiques pour tous, à développer des politiques sociales et de formation et à améliorer le niveau de vie des populations dans les pays de la rive sud de la Méditerranée.

Réagissant à ces propos, M. Hassan Abouyoub, ambassadeur itinérant de SM le Roi, a déploré la faiblesse du volume des échanges commerciaux entre les pays du Maghreb, soulignant que les pays de la région ont perdu beaucoup de temps qu'il est difficile de rattraper.

Si les pays maghrébins veulent vraiment jouer le rôle qui leur revient dans la construction de l'UPM, ils doivent remettre sur les rails l'Union du Maghreb arabe, idéal auquel aspirent tous les peuples de la région, a-t-il dit.

Après 50 ans d'indépendance, il est inadmissible de constater que les échanges commerciaux entre les pays de l'UMA ne sont qu'à 2 pc de l'ensemble de leurs échanges extérieurs, a-t-il dit.

Les participants à ces débats suscités autour des perspectives d'avenir de l'UPM ont appelé aussi au règlement définitif de la question palestinienne et à la création d'un Etat palestinien indépendant.

Malgré les événements de Gaza, qui ont eu pour conséquence immédiate le gel du projet de l'UPM, lancé par le président Nicolas Sarkozy, ont noté des participants, nombre de pays méditerranéens continuent de croire en ce projet ambitieux, qui constitue une opportunité pour les pays de la Méditerranée de s'ériger en acteur actif et influent sur la scène internationale.

Des conférenciers ont recommandé dans ce sens aux pays concernés de saisir l'opportunité historique offerte par l'UPM pour enrayer la crise économique mondiale et inventer un nouveau modèle de développement susceptible de garantir la paix et la prospérité pour tous les peuples de la région.

Placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, la deuxième édition de ce forum de Fès est organisée cette année par le Centre marocain interdisciplinaire des études stratégiques internationales, la Fondation Esprit de Fès et la ville de Fès, sous le thème "l'UPM : quel bilan pour quelles perspectives ?".
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COIN DE LA PRESSE MAROCAINE ET INTERNATIONALES Empty CHOMAGE EN HAUSSE EN FRANCE

Message  Admin Ven 29 Mai - 12:51


58.500 chômeurs supplémentaires en avril

La montée du chômage s'est poursuivie en avril en France, le nombre de demandeurs d'emploi progressant de 2,4% par rapport au mois précédent (+58.500 personnes) pour franchir la barre des 2,5 millions, selon les données publiées par le ministère de l'Economie et Pôle Emploi.














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COIN DE LA PRESSE MAROCAINE ET INTERNATIONALES Empty ELECTIONS COMMUNALES JUIN 2009

Message  Admin Dim 31 Mai - 6:57

Communales, le temps des Pieds Nickelés…

Quelle drôle d’ambiance que celle qui prévaut à quelques semaines des élections communales, quasiment considérées par les protagonistes comme une opération politique majeure de portée nationale.
Alors que les inscriptions sur les listes de candidatures sont ouvertes depuis lundi dernier, les candidats ne se pressent guère au portillon tandis que les « zaïms » des différentes formations observent un mutisme prudent sur ce processus, tout en affirmant leur volonté de couvrir le plus grand nombre possible de communes.
On a ainsi le sentiment que nos leaders estimés ne semblent guère préoccupés de la contradiction d’une représentation imparfaite, justement à cause de l’absence de couverture des 25 000 communes en jeu, mise en corollaire avec une volonté de réaliser un score qui permettrait des appréciations et des conclusions « nationales ».
Mais là n’est pas le seul constat que l’on peut faire dans cette ambiance politico-médiatique pré-électorale où la médiocrité et la vulgarité se marient tellement bien que l’on finit par se demander si le déplacement aux bureaux de vote le 12 juin prochain vaudra vraiment le détour…
En effet, outre les campagnes de presse qui ne dissimulent même plus leurs commanditaires contre tel candidat, (Jazouli à Marrakech), tel Parti (l’USFP avec les accusations sur le rôle de feu Mehdi Ben Barka), ce sont les manœuvres tardives et zélées contre la transhumance politique, ce sport que pratiquent si bien nos élus, qui couvrent de ridicule ceux qui veulent la condamner et ceux qui la soutiennent.
Un ridicule qui ne tue guère, fort heureusement, sinon les travées de la Chambre des Représentants et celle des Conseillers seraient désertes depuis belle lurette, tant ont été nombreux les défections, changements d’étiquettes et retournements de vestes de nos parlementaires ces dernières années…
Certes, un article de loi, le numéro 5, qui n’a pas la même odeur d’ailleurs que celui de Chanel ( !), prescrit cette pratique, mais dans la réalité, il est totalement inapplicable car aucune des représentations de l’échiquier politique national ne peut s’enorgueillir de n’avoir jamais accepté de transfuges.
La réalité, bien amère, certes, veut que la grande majorité des élus marocains, à l’échelon communal, municipal et national, soit une caste d’individus aux convictions politiques et idéologiques bien moins fortes que leur avidité de pouvoir et de reconnaissance par le biais d’un suffrage populaire.
De quel droit donc crierait-on haro sur le PAM, qui a porté cette pratique à son plus haut degré il est vrai, alors que les autres, TOUS les autres ne se sont jamais privés d’accueillir une « personnalité » venue d’en face, d’à côté ou de nulle part ?
Nos partis politiques, fussent-ils de gauche, ont ainsi « fait le plein » d’opportunistes et d’affairistes dans un passé proche, sans compter les pistonnés (ées) et autres parachutés (ées) devenus (ues), le temps d’un dépôt d’un bulletin dans une urne transparente, « élus de la Nation »…
Le Maroc, de ce fait, connaît un grave problème de représentation parce que nos forces politiques, y compris celles qui prétendent combattre pour la moralisation, (n’est-ce pas M. Belkora ?), n’ont jamais hésité à s’asseoir sur les principes qu’ils entendent aujourd’hui faire respecter par d’autres.
Et si l’adage prétend qu’un seul poisson pourrit le panier, on devrait parfois lui rajouter la célèbre formule des Mousquetaires, qui s’appliquerait ainsi à tous nos Pieds Nickelés de la politique : « un pour tous, tous pourris » !

La Nouvelle Tribune
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COIN DE LA PRESSE MAROCAINE ET INTERNATIONALES Empty CRISE ECONOMIQUE ET LES REMEDES MADE IN MORROCO

Message  Admin Lun 1 Juin - 1:07

L’Alliance des Economistes Istiqlaliens propose que l’Etat accorde des prêts directs aux entreprises:

L’Alliance des Economistes Istiqlaliens propose que l’Etat accorde des prêts directs aux entreprises exportatrices dans les secteurs en difficulté pour éviter les licenciements anticipés.

L’Alliance préconise d’utiliser l’importante marge de manœuvre du budget de l’Etat pour éviter la destruction partielle du tissu industriel naissant de notre pays


Dans une prise de position du mois de décembre dernier, l’Alliance des Economistes Istiqaliens avait analysé la Loi de Finances 2009 et conclu qu’une marge de manœuvre importante était désormais disponible pour augmenter l’investissement public.

Elle avait estimé que la succession de déficits budgétaires réduits au cours des dernières années avait suffisamment désendetté l’Etat et que la priorité dorénavant n’était plus au désendettement mais à la hausse de l’investissement public pour accélérer la croissance et la création d’emplois (tout en stabilisant le niveau d’endettement entre 50% et 60% du PIB).

L’Alliance des Economistes Istiqlaliens avait conclu à l’existence d’une marge de manœuvre budgétaire d’au moins 15 à 20 milliards de Dhs d’investissements supplémentaires possibles tout en stabilisant l’endettement en pourcentage du PIB.

L’Alliance avait alors préconisé d’utiliser une partie de la marge de manœuvre disponible pour renforcer plus encore l’intervention de l’Etat dans le secteur de la production de logements et dans le secteur des travaux publics, afin de conserver à ces deux secteurs le rôle moteur qu’ils jouent depuis 2005 dans l’accélération de la croissance et de la création d’emplois dans notre pays (+2% de croissance par an depuis 2005 grâce à ces deux activités).

Inquiète de l’effondrement sans précédent de la demande adressée par le marché européen à notre pays, notamment dans le secteur des composants automobiles, des composants électroniques et de l’habillement, l’Alliance des Economistes Istiqlaliens :

-réitère l’urgence d’un plan supplémentaire d’investissement public dans la production de logements et dans les travaux publics ;
-propose la mise en place de procédures exceptionnelles pour dépenser plus rapidement les budgets de relance alloués par l’Etat,
-préconise d’utiliser une partie de la marge de manœuvre budgétaire pour un plan d’aide urgent aux entreprises des secteurs exportateurs touchés.

L’Alliance rappelle que les stratégies sectorielles volontaristes adoptées par notre pays depuis l’avènement de Sa Majesté Mohamed VI, en particulier la Vision 2010 pour le tourisme, le Plan Emergence pour l’industrie et l’offshoring et le Plan Maroc Vert pour l’agriculture, sont des plans qui visent à augmenter les capacités de production de biens et de services de notre pays, notamment en favorisant la création d’entreprises nouvelles pour élargir le tissu productif (notre pays produit peu et exporte peu parce qu’il a peu de capacités industrielles, c'est-à-dire un nombre insuffisant d’entreprises).

Ces plans, dont l’horizon est de 10 à 15 ans, ne pourront se réaliser avec succès si le Maroc perd une partie de son tissu productif à chaque retournement conjoncturel. Il est donc fondamental d’empêcher les entreprises dans les secteurs-clés de développement de notre pays de disparaître lors des crises à caractère conjoncturel.

De même, la stratégie économique du Maroc a comme premier critère de succès le nombre d’emplois créés chaque année, en particulier dans les secteurs prioritaires ; de ce fait, il est impératif de lutter contre les licenciements que la baisse d’activité entrainera mécaniquement dans ces secteurs pendant la durée de la crise historique que subissent les clients du Maroc.

L’Alliance des Economistes Istiqlaliens se félicite du projet d’un plan gouvernemental destiné aux secteurs exportateurs précités (composants automobiles, composants électroniques, habillement).

Elle souhaite contribuer en proposant des modalités de mise en œuvre efficaces et rapides, eu égard à l’imminence des licenciements dans les trois secteurs concernés.

L’Alliance recommande d’innover en n’adoptant pas la démarche traditionnelle, basée sur l’incitation du crédit bancaire par la mise en place d’un fonds de garantie ; ce schéma ne sera pas efficace, le secteur bancaire ne pouvant soutenir des entreprises dont le chiffre d’affaires baissera de 20 à 50% en 2009 et 2010. Les banques ne pourront prêter que si les entreprises réduisent leurs effectifs pour rétablir leur équilibre financier alors que l’objectif de l’Etat est, au contraire, de prêter pour permettre aux entreprises de traverser les deux années de croissance sans réduire leurs effectifs.

L’Alliance des Economistes Istiqlaliens préconise, qu’à l’instar des premiers pays ayant réagi à la crise et ayant présenté des plans de soutien au secteur bancaire et au secteur automobile, l’Etat marocain accorde des prêts directs aux entreprises des trois secteurs précités, assortis de certaines conditions :

1.ces prêts ont pour vocation de fournir de la trésorerie pour que l’entreprise puisse vivre au quotidien alors qu’elle a perdu entre 20% et 50% de son chiffre d’affaires, tout en maintenant l’ensemble de ses postes d’emploi ;

2.le capital prêté n’est remboursable qu’à partir de l’année 2013, soit dans 4 ans en une fois ou plusieurs fois ;

3.le montant prêté permet à l’entreprise de payer annuellement les intérêts à l’Etat (sans remboursement de capital) ;

4.les entreprises candidates doivent :

-faire partie des secteurs exportateurs identifiés,
-attester d’une prévision de baisse des commandes pour 2009 supérieure à 20%,
-ne procéder à aucun licenciement,
-ne pas distribuer de dividendes, ne pas retirer de compte courant de l’entreprise,
-ne pas utiliser le prêt de l’Etat pour se désendetter auprès des banques,
-et ne pas augmenter la rémunération des dirigeants.

5.l’Etat mandatera plusieurs cabinets d’audit et d’expertise comptable pour analyser le plus rapidement possible et le plus professionnellement possible les entreprises candidates à l’octroi de ces prêts ;

6.l’urgence pour sauvegarder l’emploi se mesure en jours. Cela nécessite que soient utilisées les procédures d’exception existantes dans le secteur public pour le mandatement de ces cabinets et la mise en œuvre des fonds nécessaires, plutôt que d’adopter les procédures administratives usuelles, dont la lenteur est inadaptée à l’urgence requise.

Simultanément, si après la mise en place rapide des prêts directs, des licenciements devaient se produire dans les secteurs précités (ceux touchés brutalement par l’effondrement de la demande étrangère qui leur est adressée), l’Etat pourrait allouer une enveloppe à caractère ponctuel, pour verser une aide directe aux salariés ayant perdu leur emploi (par exemple, une indemnité de 18.000 Dirhams, versée en une fois, soit l’équivalent de 12 mois à 1.500 Dirhams).
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Message  Admin Lun 1 Juin - 11:05

Crise internationale

Les enseignements des régulateurs financiers

Exécuter rapidement les mesures de soutien

Accroître la surveillance des risques systémiques

Premier semestre 2010: redémarrage de l’économie mondiale?

Abdellatif Jouahri a réussi un joli coup. Le symposium organisé pour le cinquantenaire de Bank Al-Maghrib (BAM) à Marrakech a attiré un parterre de personnalités. Côté marocain, étaient présents Othman Benjelloun (BMCE Bank), Mohamed Kettani (Attijariwafa bank) ou Mohamed Benchaaboun (Banque Populaire), pour ne citer que ceux-ci. Du côté politique, tout un panel de ministres ont fait le déplacement: Salaheddine Mezouar, Ahmed Reda Chami, Nizar Baraka, Amina Benkhadra et même l’ex-argentier du Royaume Fathallah Oualalou. Côté international, la rencontre a réuni des dirigeants de banques centrales de plusieurs pays, dont le Fonds monétaire international et la Banque centrale européenne (BCE). Celle-ci a été représentée par son président Jean-Claude Trichet, qui a ouvert le bal des interventions.
Selon ce dernier, «les banques centrales ont été largement chahutées au moment de la crise, car elles ont été à un moment accusées d’être à son origine, ou tout au moins de ne pas avoir été capables de limiter son expansion». Trichet rappelle néanmoins que la BCE a été des premières à réagir. Parmi les décisions prises, la baisse du taux directeur de 3,25% décidée en octobre 2008, ou les mesures non conventionnelles liées à la gestion des liquidités. Autre réaction, l’élargissement de la liste des actifs compris en garantie dans le cadre des opérations de crédit.
Trichet, qu’une partie de la presse française a surnommé «l’ayatollah de Francfort», a également évoqué les procédures d’appels d’offres à taux fixe, ainsi que l’allongement de la durée de ses opérations. «Les banques de la zone euro ont ainsi eu accès à la liquidité de banque centrale pour des montants illimités, initialement pour des durées allant jusqu’à six mois, au principal taux d’intérêt directeur de la BCE». Cette procédure exceptionnelle implique que la BCE se substitue à l’heure actuelle au marché, pour ce qui est de la répartition de la liquidité et de la fixation du prix.
Trichet a particulièrement insisté sur l’importance de la zone Méditerranée «qui est l’une des rares régions qui continuera de croître cette année». Un constat résultant de l’étroitesse des relations entretenues par les économies méditerranéennes, notamment les pays du Maghreb, avec la zone euro. Le patron de la BCE a particulièrement insisté sur deux points: la rapidité de l’exécution au niveau du soutien apporté par les gouvernements au secteur financier, ainsi que «la nécessité de renforcer la surveillance des politiques des pays et des économies ayant une importance systémique». D’où l’importance du rôle du FMI, ainsi que celui des banques centrales, pour être des «ancres de stabilité et de confiance», observe Trichet, qui s’est réjoui de la récente proposition de créer un Conseil européen des risques systémiques.
De son côté, Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI, a présenté le nouveau rôle de l’institution dont il a la charge. Celle-ci, précise-t-il, «a les moyens qui lui conviennent, les promesses de triplement de ses ressources au dernier sommet du G-20 sont en train de se réaliser. Pour le moment, nous avons les ressources pour satisfaire les besoins de nos membres». DSK reconnaît néanmoins que le FMI a sous-estimé les interpénétrations entre les économies, preuve que la mondialisation est bien réelle. Le Fonds a été trop optimiste sur la situation des économies les plus développées, dont la surveillance a été légère. L’un des principaux messages véhiculés est la nécessité de stratégies concertées. «L’action collective est nécessaire. Dans la surveillance qu’exerce le FMI, nous avons besoin des autres. Les banques centrales jouent à cet égard un rôle important».
DSK a insisté sur une stratégie d’alerte précoce, qui porterait idéalement sur les vulnérabilités qui présenteraient des risques systémiques. Et ce afin de permettre une réponse coordonnée. «Il faudrait essayer de penser et d imaginer sous forme de scénario ce qui peut se passer dans tel ou tel cas», souligne le directeur du FMI.
Un tel exercice a déjà été fait «à blanc» sur l’Europe centrale. Objectif: dégager des informations quantitatives, avec une obligation de cohérence. Autant d’informations qui devraient servir aux banques centrales pour une meilleure identification des risques financiers systémiques, tels ceux liés à l’évolution des institutions financières, ou à celle de la finance publique. En conséquence, il importe de bien clarifier le rôle du FMI, qui doit «délivrer des messages impartiaux, francs et non équivoques», précise DSK.
Pour ce qui est de la visibilité par rapport à la fin de la crise, le directeur général du FMI prévoit un redémarrage de l’économie mondiale au premier semestre 2010, «sous réserve que les bonnes politiques continuent à être mises en œuvre». Toutefois, «le retour de la croissance ne signifie pas vraiment une sortie de crise, «car le chômage continuera à augmenter, en tout cas dans les pays développés, pendant environ un an, après le retour de la croissance», tempère DSK.
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Message  Admin Mar 2 Juin - 11:05

Baccalauréat: Départ aujourd'hui

L’on peut polémiquer sans fin sur les dysfonctionnements de l’enseignement public. Ce ne sont pas les occasions qui manquent. Les épreuves du bac entamées dès aujourd’hui viennent ainsi rappeler les espoirs portés sur le système mais aussi sur ses handicaps. On ne le répétera jamais assez, tout se joue au niveau du préscolaire, du primaire et du lycée. Les études au Maroc y sont particulièrement longues, quantitativement bien assurées.

Mais les résultats ne suivent pas. Le plus gros défi c’est d’adapter l’offre aux besoins. Le système éducatif public continue hélas de charrier chaque année des milliers de jeunes dotés de diplômes peu en phase avec les attentes du marché de l’emploi. Ces jeunes sont aux premières loges dans les rangs des victimes collatérales de la conjoncture, crise ou pas.

Des arbitrages pédagogiques restent toujours à trouver tant du point de vue des orientations, où le déficit sur les filières à forte insertion professionnelle est patent, que de la qualité de l’enseignement prodigué. Sans cela, le système continuera de contribuer à l’accentuation des inégalités, niveau de vie et chances de réussite scolaire allant souvent de pair.

Sur le marché de l’emploi-éducation nous n’avons pas trop le choix: toutes les réformes sont à prendre. Cet exercice est indispensable dans un domaine où la seule sanction qui puisse exister, en l’absence d’une sanction de marché, c’est celle de l’évaluation.

L’on ose espérer que la réforme clamée depuis plusieurs mois puisse porter rapidement ses fruits.

Jusqu’où est-il possible de faire mieux avec moins? Ne l’oublions pas, le problème de l’éducation nationale au Maroc n’est pas une question de budget.

Mohamed Benabid
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Message  Admin Mar 2 Juin - 11:09

Démarrage des épreuves du bac

==>315.718 candidats contre 300.000 en juin 2008

==>Les résultats rendus publics à partir du 16 juin

LES épreuves du baccalauréat démarrent ce matin. Elles se poursuivront jusqu’au 4 juin. L’édition de cette année coïncide avec la mise en œuvre du projet de renforcement du système d’évaluation et d’examens, principalement au niveau de l’amélioration de l’encadrement et de la consolidation de l’égalité des chances. Ces mesures entrent dans le cadre de la mise en application des recommandations du plan d’urgence ministériel 2009-2012. Près de 315.718 lycéens participent aux différentes épreuves du bac 2009, contre 300.000 l’an passé, soit une progression de 4,77%. Parmi eux, 154.521 filles, soit 48,9%, en évolution de 12,78% par rapport à la session de juin 2008.

Fait marquant, le privé continue de gagner du terrain. En effet, les élèves inscrits dans un établissement privé ont augmenté de 40,76% comparativement à juin 2008, soit 13.733 candidats. L’année précédente, leur nombre ne dépassait pas 8.135 élèves. Quant aux candidats issus de l’enseignement public, leur nombre n’a évolué que de 5%, puisqu’il est estimé à 242.634 (soit une hausse de 5% par rapport à l’année passée). La dernière catégorie de futurs bacheliers est constituée des candidats libres. Le nombre des libres a atteint cette année 59.351, (soit plus de 18,8% en comparaison avec l’année scolaire passée). Evidemment, la répartition des élèves par type d’enseignement indique que les inscrits dans l’enseignement général constituent l’écrasante majorité puisque leur proportion est estimée à 91,57% contre 6,89% pour les élèves de la branche technique et à peine 1,53% pour les candidats suivant l’enseignement originel. Côté répartition des candidats par filière, les branches littéraires sont évaluées à 142.032, contre 147.086 pour les branches scientifiques, soit respectivement 44,99 et 46,59% de l’ensemble des candidats. Quant aux branches techniques, elles accaparent 21.765 étudiants et l’enseignement originel 4.835 candidats. Les statistiques indiquent également que les branches scientifiques et techniques ont connu une progression notable, soit respectivement 7,54 et 33,68%. Pour ce qui est des branches littéraires et de l’enseignement originel, elles ont respectivement régressé de 0,5 et 6,04%. Par ailleurs, les épreuves de l’examen régional du baccalauréat pour les étudiants réguliers et les candidats libres de 1re année se dérouleront du 8 au 9 juin. La seconde session est prévue pour les 6 et 7 juillet. Pour ce qui est des travaux pratiques destinés aux candidats libres inscrits dans les filières économiques et de gestion, ils sont programmés pour les 10 et 11 juin, tandis que la deuxième session aura lieu les 8 et 9 juillet. Enfin, les délibérations au titre de la première session du baccalauréat se tiendront les 15 et 16 juin, et les 13 et 14 juillet, pour la deuxième session.

Hassan EL ARIF
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Message  Admin Mer 3 Juin - 14:49

Le vol Rio-Paris d'Air France: 72 Français, 59 Brésiliens, 26 Allemands

Des passagers de 32 nationalités dont 72 Français, 59 Brésiliens et 26 Allemands étaient à bord du Rio-Paris d'Air France disparu au-dessus de l'Atlantique, selon le ministère de Jean-Louis Borloo, en charge des Transports et la compagnie Air France.

Air France a indiqué mardi 2 juin qu'un des 12 membres de l'équipage est brésilien, contrairement aux premières informations selon lesquelles tous étaient français.
Le directeur général d'Air France, Pierre-Henri Gourgeon, a expliqué que différents décomptes ont pu être établis jusqu'à présent en raison de plusieurs cas de passagers dont la double nationalité a dû être vérifiée.
Revoici le décompte par nationalité des 228 personnes à bord de l'Airbus A 330:

- 72 Français
- 59 Brésiliens
- 26 Allemands
- 9 Chinois
- 9 Italiens
- 6 Suisses
- 5 Libanais
- 5 Britanniques
- 4 Hongrois
- 3 Irlandais
- 3 Norvégiens
- 3 Slovaques
- 2 Espagnols
- 2 Marocains
- 2 Polonais
- 2 Américains
- 1 Africain du Sud
- 1 Argentin
- 1 Autrichien
- 1 Belge
- 1 Gambien
- 1 Islandais
- 1 Philippin
- 1 Roumain
- 1 Russe
- 1 Turc
- 1 Canadien
- 1 Estonien
- 1 Néerlandais
- 1 Suédois
- 1 Danois
- 1 Croate
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Message  Admin Mer 3 Juin - 15:38

Personnel des banques: Augmentation générale!

650 DH en faveur des employés classés jusqu’au grade VI

Objet d’une convention entre l’USIB et le GPBM

Bonne nouvelle pour le personnel du secteur bancaire. Le Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) a signé, mardi 2 juin, avec l’Union syndicale interbancaire (USIB) une convention portant sur une série d’avantages au profit des employés de banque. Première mesure phare, une augmentation générale de 650 DH pour le personnel des classes 1 à 6 incluse. Le plafond de la tranche des prêts immobiliers à laquelle était appliqué un taux d’intérêt de 2,5% passe de 500.000 DH à 600.000 DH. L’accord prévoit également la baisse à 3,75% du taux applicable à la tranche du crédit immobilier dépassant 600.000 DH. La mesure est assortie de l’amélioration des conditions d’éligibilité. En effet, l’accès à ces crédits devient possible dès la titularisation de l’employé, au lieu de la condition de posséder une ancienneté de 4 ans à l’entreprise comme auparavant. De même, la durée de l’amortissement a été allongée de façon à correspondre à l’âge de la retraite et la durée du crédit pourra désormais aller jusqu’à 24 ans.
Autre point de l’accord intervenu entre l’USIB et le GPBM, l’augmentation de la prime de panier à 18 DH nets, par jour, contre 15 DH auparavant, avec maintien du système de subvention repas pour les banques ayant déjà des restaurants d’entreprises. L’accord prévoit également l’amélioration de la retraite complémentaire instituée en faveur du personnel de la classe 7 et au-delà. Ainsi, le taux de cotisation sera désormais porté à 3,25% au lieu de 3%. Ce taux sera porté à 3,75% pour les personnes âgées de 50 à 55 ans et à 4,5% au lieu de 4% pour les personnes âgées de 55 ans et plus. Parmi les autres points prévus par la convention USIB-GPBM, l’instauration de l’égalité des chances en faveur des femmes en congé de maternité. Une note du GPBM devra d’ailleurs confirmer les modalités de maintien de leurs droits et avantages. Il est à préciser que ces femmes sont parfois lésées au niveau de leur avancement au retour d’un congé de maternité. Par ailleurs, la commission de veille sociale est appelée à poursuivre ses travaux sur un certain nombre de chantiers, tels que la refonte de la reclassification des emplois et métiers, la mise en place d’une Gestion prévisionnelle des emplois et compétences (GPEC), le développement des œuvres sociales interbancaires au niveau des autres régions du Royaume.
Lors des dernières élections des délégués du personnel, l’USIB, qui est affiliée à l’UMT, a décroché 88% des sièges. De ce fait, elle est l’interlocuteur obligé du groupement des banques pour le dialogue social, et notamment, la convention collective relative au personnel des banques. Il convient de signaler, enfin, que le prochain défi qui attend l’USIB concerne la mise en place des comités d’entreprise et des comités d’hygiène et de sécurité dans toutes les institutions bancaires, et ce, conformément aux dispositions du nouveau Code du travail.

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COIN DE LA PRESSE MAROCAINE ET INTERNATIONALES Empty LES BONNES HABITUDES A SUIVRE

Message  Admin Lun 8 Juin - 5:37

FETE DES MEILLEURS AMIS:

La fête des meilleurs amis est une jolie tradition venue des Etats-Unis et que nous adoptons sans hésitation. Aux Etats-Unis, le "Best Friends Day" a lieu le 8 juin et permet à chacun de se manifester auprès de ses meilleurs amis. C'est une journée tout particulièrement indiquée pour leur envoyer une carte, pour les réunir en organisant une fête, ou même, si besoin, pour renouer avec des amis perdus de vue. Et pourquoi pas, le cas échéant, se réconcilier et repartir sur de bonnes bases.

Profiter de cette journée pour valoriser l'amitié
L'amitié est nécessaire à chacun, et sait apporter de la joie, du réconfort et même de l'aide et du soutien en cas de besoin. S'il est aisé de mesurer l'importance de l'amitié en cas de coup dur, en revanche au quotidien on a parfois tendance à oublier d'entretenir les amitiés qui comptent pour nous. Alors pour tous ceux qui trouvent trop rarement le temps de se manifester auprès de leurs amis, la fête des meilleurs amis est le moment idéal pour rattraper le temps perdu.

Citations à propos d'amitié
L'amitié est un thème récurrent pour les écrivains, humoristes et scénaristes. Rien d'étonnant puisque les relations d'amitié - et toutes les situations compliquées qui en découlent - occupent une grande place dans notre vie affective. Grâce aux nombreux écrits sur ce sujet, nous savons tous (avant de l'apprendre parfois par expérience !) que les écueils de l'amitié sont nombreux. L'argent, que l'on emprunte ou que l'on prête, est une grande source de disputes entre amis, et de nombreux auteurs nous assurent qu'il vaut mieux, pour conserver un ami, lui devoir de l'argent que le contraire. Dans un registre différent, on dit aussi que l'amitié, face aux tentations de l'amour, est souvent sacrifiée. Mais parce qu'il est des amitiés solides qui résistent à tous ces dangers et que c'est bien ces amitiés que nous célébrons en cette fête des meilleurs amis, nous avons sélectionné des citations qui vantent les mérites de l'amitié. A lire, à méditer, et à envoyer à ses meilleurs amis pour illustrer sa dromacarte :

" La terre nous fait attendre ses présents à chaque saison, mais on recueille à chaque instant les fruits de l'amitié."
Démophile

"Il ne vaut pas la peine de vivre si l'on n'a pas un bon ami."
Démocrite

"Toutes les grandeurs de ce monde ne valent pas un bon ami."
Voltaire

"Le difficile n'est pas d'être avec ses amis quand ils ont raison, mais quand ils ont tort."
André Malraux

"Un ami, c'est celui qui devine toujours quand on a besoin de lui."
Jules Renard

"Plus l'ami est ancien, meilleur il est."
Plaute

"Il n'y a pas de plaisir comparable à celui de rencontrer un vieil ami, excepté peut-être celui d'en faire un nouveau."
Rudyard Kipling

"Quand mes amis sont borgnes, je les regarde de profil."
Joseph Joubert

"Chacun se dit ami ; mais fou qui s'y repose :
Rien n'est plus commun que ce nom,
Rien n'est plus rare que la chose."
Jean de La Fontaine

"Le rôle d'un ami, c'est de se trouver à votre côté quand vous êtes dans l'erreur puisque tout le monde sera à côté de vous quand vous aurez raison."
Mark Twain

"L'idéal de l'amitié c'est de se sentir un et de rester deux."
Anne Sophie Swetchine

"Un ami, rien qu'un ami, c'est aussi précieux qu'une vie."
Georges Bernanos

"Un véritable ami est le plus grand de tous les biens et celui de tous qu'on songe le moins à acquérir."
François de la Rochefoucauld

"Le bonheur d'un ami nous enchante. Il nous ajoute. Il n'ôte rien. Si l'amitié s'en offense, elle n'est pas."
Jean Cocteau

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De : Admin
Bravo ! C'est génial sunny

J'ignorais tout de cette fête. Magnifique initiative que je relaie sur le Forum :

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COIN DE LA PRESSE MAROCAINE ET INTERNATIONALES Empty LES FAILLES DE LA TECHNOLOGIE

Message  Admin Mar 9 Juin - 11:36

Crash du vol AF447 - Qu'est-ce qu'une sonde Pitot?

C'est un instrument qui permet de mesurer la pression subie par l'avion pour en déduire sa vitesse. Dans le cas du vol AF447, une hypothèse consiste à dire que les sondes Pitot ne fonctionnaient plus, ou mal, à cause des intempéries ou du givre.

Où est-elle sur l'avion?

La sonde Pitot se trouve à l'avant du fuselage (nez de l'appareil) ou sous la voilure, c'est-à-dire les ailes. C'est l'endroit où la sonde mesure le mieux la pression tout étant protégée des perturbations.

Que mesure cette sonde?

La sonde Pitot mesure la pression "dynamique" qui est la différence entre la pression totale (vitesse par rapport au vent) et la pression statique (pression atmosphérique au niveau de l'avion). A partir de cette pression dynamique, on déduit la vitesse de l'avion (noeuds) qui est affichée sur le cadran de l'anémomètre ou "Badin".

Qu'entraîne un dysfonctionnement de cette sonde?

Si la sonde Pitot fonctionne mal, la mesure de la vitesse de l'appareil est erronée et la vitesse qui s'affiche sur l'anémomètre n'est pas la bonne. Cette fausse information fournie au pilote peut alors avoir des conséquences graves. Si la vitesse est surestimée, il y a un risque de décrochage de l'avion. C'est-à-dire qu'à cause d'une vitesse trop faible, l'appareil risque de tomber. Si la vitesse est sous-estimée, et que l'appareil va plus vite que ce qu'indique l'anémomètre, il existe un risque de déformation, voire de destruction dans les cas les plus extrêmes, de l'avion.
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COIN DE LA PRESSE MAROCAINE ET INTERNATIONALES Empty LE PETROLE A 50% DE SON PLUS HAUT PRIX ENREGISTRE

Message  Admin Mer 10 Juin - 0:39

Le pétrole à 70 dollars pour la 1re fois depuis novembre :

Les prix du pétrole ont bondi mardi à New York, clôturant au-dessus de la barre des 70 dollars pour la première fois depuis début novembre, soutenus par la baisse du dollar.

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en juillet a terminé à 70,01 dollars, en hausse de 1,92 dollar par rapport à son cours de clôture de lundi. Il n'avait plus terminé à ce niveau depuis le 4 novembre.

Dans les échanges électroniques d'après-clôture, le baril est monté jusqu'à 70,69 dollars.

A Londres, sur l'InterContinental Exchange, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance identique a gagné 1,74 dollar, à 69,62 dollars. Il a lui aussi franchi la barre des 70 dollars, à 70,06 dollars, après la clôture.

Cette hausse des prix du brut est liée "clairement à l'accélération de l'affaiblissement du dollar", a indiqué John Kilduff, de MF Global.

La monnaie américaine a repris le chemin de la baisse mardi face aux principales devises, en particulier la livre sterling.

"C'est vraiment ce qui a renforcé les prix et nous a emmené jusque là", a souligné M. Kilduff.

L'Agence d'information sur l'énergie (EIA), émanation du département américain de l'Energie, a expliqué les trois mois de hausse des prix du brut, "par des attentes de redressement économique mondial et d'augmentation future de la consommation de pétrole".

Mais, "à cela s'ajoutent un dollar affaibli et une activité croissante du marché financier qui poussent en hausse les prix des matières premières, éclipsant les mauvais fondamentaux de l'offre et de la demande", a-t-elle ajouté.

La faiblesse du dollar rend le brut plus intéressants pour les investisseurs munis d'autres devises. En se portant sur le marché des matières premières, ils peuvent espérer se protéger contre une perte de valeur de leurs avoirs.

Trois facteurs se combinaient ainsi pour porter le marché: "c'est l'histoire simple d'un dollar faible et d'un marché boursier en hausse, avec un flux en provenance de fonds qui investissent dans les matières premières", a résumé Adam Sieminski, de Deutsche Bank.

Ces derniers temps, de nombreux analystes ont relevé leurs prévisions de cours sur le pétrole, comme Barclays ou Goldman Sachs.

Mais l'état de la demande restait mauvais, a noté l'EIA.

Même si elle a relevé son estimation de prix moyen du baril à 58,70 dollars pour 2009 (contre environ 55 dollars précédemment), l'EIA continue d'anticiper une baisse de la demande de 1,8 million de barils par jour (mbj) cette année avant un redressement de 700.000 barils par jour en 2010.

L'augmentation des prix de l'essence à la pompe, pourrait ajouter une pression supplémentaire sur le marché, a estimé M. Kilduff.

D'autres rapport suivront cette semaine, dont celui de l'Agence internationale de l'Energie jeudi et de l'Opep vendredi. "Le marché va s'attacher à relever les signes montrant que la baisse de la demande est en passe d'être terminée", selon les analystes de Barclays Capital.

Mercredi, les investisseurs suivront le rapport hebdomadaire sur les stocks américains.

Les analystes interrogés par Dow Jones Newswires s'attendent à ce que le DoE annonce une baisse des stocks de brut de 500.000 barils, allant de pair avec un étoffement des stocks de produits pétroliers (+1,3 million de barils pour l'essence, +1,4 mb pour les distillats). Les raffineries auraient, selon leurs pronostics, porté à 87,1% leur taux d'utilisation.
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Message  Admin Jeu 11 Juin - 8:10

Le secteur privé a détruit 192.500 emplois au 1er trimestre

L'emploi salarié a reculé de 1,2% en France métropolitaine sur les trois premiers mois de l'année par rapport au quatrième trimestre 2008, avec 192.500 emplois détruits dans les secteurs principalement marchands, selon les données révisées publiées jeudi par l'Insee. Il s'agit du plus mauvais chiffre sur un trimestre depuis la récession du début des années 1990.

Sur un an, l'emploi salarié dans le secteur privé affiche un recul de 2,3% avec 15.696.900 personnes occupées correspondant à la destruction de 375.700 emplois depuis la fin du premier trimestre 2008.

"Jusqu'à présent, l'économie française a tenté de braver la tempête grâce à la résistance de la consommation des ménages. Mais on ne pourra espérer que de telles performances soient réitérées au cours des trimestres à venir si une telle hémorragie se poursuit sur le front de l'emploi", prévient Alexander Law, économiste à l'institut Xerfi.

Ce dernier anticipe une poursuite des destructions de postes au moins jusqu'à la fin de l'année. "Il s'agit là d'un terreau particulièrement propice pour la reconstitution d'une épargne de précaution et une aversion accrue au crédit", dit-il.

"Dans ces conditions, les dépenses des ménages pourraient bien finir par céder, limitant d'autant la capacité de reprise de l'économie française", estime-t-il.

LA CAPACITÉ DE REPRISE FRAGILISÉE

Le gouvernement prévoit une contraction du produit intérieur brut cette année et une poursuite de la montée du chômage mais espère une croissance de 0,5% en 2010 à la faveur notamment de la résistance de la consommation.

Aussi, la poursuite de la dégradation du marché du travail accentuera-t-elle la pression sur l'exécutif pour de nouvelles mesures de soutien à l'emploi.

La présidente du Medef, Laurence Parisot, a ainsi plaidé pour une extension des mesures de revalorisation du chômage partiel.

"Dès décembre 2008 j'avais dit (qu'il fallait) engager une négociation sur le chômage partiel pour ouvrir les critères d'accès à l'assurance chômage, pour faire en sorte que ceux qui n'arrivent plus à accéder au marché du travail ou qui perdent leur emploi puissent supporter cette situation de la manière la moins dramatique possible", a-t-elle rappelé sur France Info.

"Cela ne suffit pas et c'est pourquoi aussi dès février 2009 j'ai proposé aux organisations syndicales d'ouvrir un nouveau cycle de délibérations sociales ou même directement de négociations pour imaginer ensemble des solutions pour faire face à cette situation sociale difficile", a-t-elle ajouté.

Les partenaires sociaux ont entamé mercredi leurs négociations sur l'emploi et le travail partiel dans le cadre de l'"agenda social" 2009.

Après l'enveloppe de 2,6 milliards d'euros de mesures sociales annoncée lors du sommet social du 18 février, Nicolas Sarkozy avait présenté fin avril un plan d'urgence de 1,3 milliard d'euros ciblé sur les jeunes.

"DÉCLIN ANNONCÉ"

Par rapport au quatrième trimestre 2008, l'emploi salarié a baissé de 1,5% dans l'industrie soit 53.100 suppressions de postes (-3,1% sur un an). Il a reculé de 0,7% dans la construction (-10.400 postes) et affiche une baisse équivalente sur un an.

"Autant la crise de 1993 avait balayé des pans entiers de l'industrie tels que l'équipement du foyer ou le textile, autant celle d'aujourd'hui met à mal d'anciens fleurons, à l'instar de l'automobile", relève Alexander Law en rappelant que l'industrie détruit des emplois trimestre après trimestre depuis huit ans.

"Tout indique aujourd'hui que même si l'Etat est intervenu pour sauver ce qui peut encore l'être, la question centrale de demain sera de savoir comment gérer économiquement et socialement les conséquences d'un déclin annoncé", poursuit-il.

Dans les services, le recul est de 1,2% au premier trimestre (-128.900 emplois détruits dont 80.800 dans l'intérim) et de 2,3% sur un an.

Les chiffres de Pôle Emploi compilés auprès des entreprises affiliées à l'assurance chômage et divulgués mercredi faisaient état d'une contraction de 1,1% de l'emploi salarié au premier trimestre (175.100 postes supprimés) et de 1,8% sur un an avec 16.478.200 personnes occupées à fin mars 2009.

Marc Joanny, édité par Yves Clarisse
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Message  Admin Jeu 11 Juin - 13:57


Ce jeudi le groupe de tourisme a annoncé avoir lancé des poursuites à l'encontre de l'homme d'affaires pour "diffusion d'informations fausses et trompeuses et manipulation de cours". Le mystère plane toujours sur les motivations réelles des protagonistes.


Le Club Med porte plainte contre Tapie"Nanard" business man aux nombreux déboires, intéressé par le Club Med... depuis quelques semaines l'affaire Club Med défraye la chronique. Ce jeudi, jour de la présentation des résultats, le groupe de tourisme a annoncé qu'il avait lancé des poursuites à l'encontre de l'homme d'affaires pour « diffusion d'informations fausses et trompeuses et manipulation de cours ». Mais le mystère plane toujours sur les motivations réelles des protagonistes.

Où en est le Club-Med ?
Avec une perte nette de 22 millions d'euros pour le premier semestre 2008-2009 et un chiffre d'affaires en perte de 4,2% à 724 millions d'euros, la marque au trident n'a pas été épargnée par la crise.

Pour faire face, le groupe a même dû réduire la voilure sur l'été, en réduisant ses capacités, et en mettant en oeuvre un plan d'économies de 56 millions d'euros.

Mais la dépression boursière n'explique pas tout. Depuis des années, l'entreprise emblématique des "vacances tout compris" a du mal à se positionner. En 5 ans, elle a été 3 fois déficitaire et est tout juste sorti du rouge en 2007-2008 (1 million d'euros) grâce à la vente de jet-Tours et ClubMed gym. Ainsi, depuis des mois, les tentatives de la direction se multiplient pour recapitaliser le groupe de tourisme.

Dernière en date, et plutôt réussie, l'augmentation de capital lancée le 11 mai dernier, a déjà permis de récolter 102 millions d'euros. De quoi perturber les éventuels candidats à une prise de participation. Mais pas l'ex homme d'affaires Bernard Tapie, qui réaffirmait peu après l'augmentation de capital son intérêt pour l'entreprise. Il faut dire que le Club Med conserve quelques atouts. Depuis quelque temps, la porte du groupe de voyages est grande ouverte, avec un capital non verrouillé et un niveau de cours particulièrement bas. Malmenée en bourse, l'entreprise ne pèse guère plus que 240 millions d'euros aujourd'hui. Pour Bernard Tapie, récemment renfloué, et qui affirme vouloir rester actionnaire minoritaire de l'entreprise, le coup est donc jouable.

Quelles sont les intentions de Bernard Tapie ?
Elles sont très floues. C'est le 26 avril dernier que le JDD révèle les intentions de Bernard Tapie à l'égard de l'entreprise dirigée par Henri Giscard d'Estaing. Elle fait "partie des boîtes qu'[il] aime beaucoup", selon ses propres termes. Problème, la position de l'homme d'affaires n'est pas d'une grande clarté. Si "Nanard" se dit bien volontiers "intéressé" par le Club, il ne cesse de repousser la date de sa décision. Ses rapports avec l'entreprise aussi sont confus. Il ne veut pas "d'une relation conflictuelle" avec l'entreprise , mais dénonce "les combines" pour l'empêcher d'accéder au capital.

Selon l'ex homme d'affaires, l'augmentation de capital du groupe aurait eu pour seul objectif de perturber son éventuelle prise de participation et "de permettre à Henri Giscard d'Estaing de garder sa place " de PDG . Depuis, le bras de fer entre "Nanard" et le fils de VGE n'a plus rien de confidentiel. L'ancien patron d'Adidas ne cesse de s'en prendre à la stratégie de l'entreprise et à ses dirigeants. Il dénonce la rémunération des dirigeants, met en cause la fiabilité des comptes. Parallèlement le cours de bourse, déjà perturbé par l'augmentation de capital, fluctue en fonction des annonces de l'ex-chanteur, ministre, acteur, entrepreneur... Les petits porteurs sont troublés, le management de la société déstabilisé.

Alors pourquoi dire une chose et le lendemain son contraire ? Est-ce le blues du business man qui anime Bernard Tapie ou une stratégie plus habile ? Est-ce pour influer sur le cours de bourse et acheter les actions Club Med au rabais? Ou pour préparer son rebond comme investisseur sur une toute autre scène ? Les avis semblent partagés, les uns s'étonnent de son erreur de s'être dévoilé avant même de s'être emparé d'une portion même minime du capital. Les autres prennent sa défense et mettent en avant sa bonne foi et son statut d'éternel "victime". Et il est vrai que les critiques à l'égard de "Nanard" peuvent paraître pour le moins surprenantes. "Ce qui est étonnant, voire amusant dans cette affaire, c'est que pour la première l'AMF reproche à un prétendant au capital de s'être exprimé sur le sujet. Habituellement, lorsqu'une rumeur existe, qui laisse entendre que quelqu'un serait intéressé par une entreprise, on lui demande de s'expliquer, d'apporter davantage d'informations. Or dans ce cas c'est l'inverse, Bernard Tapie a parlé et on le désapprouve " note Me Muriel Goldberg-Darmon, associée du cabinet Salans. "A terme, il s'agira de savoir si une information floue constitue ou non un manque de transparence", observe l'avocate.
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Message  Admin Dim 14 Juin - 1:38

Modèle économique: Les leçons coréennes

· En 40 ans, ce pays s’est fait un nom notamment dans l’univers impitoyable de la haute technologie

· Hyundai finalise la construction d'un navire destiné à CMA CGM, le groupe ayant repris la Comanav

Crise ou pas, le modèle économique coréen a toujours de l’allure. Le visiteur qui débarque pour la première fois dans ce pays a probablement dû intercepter ou lire l’une de ces nombreuses analyses sur le miracle économique de ces nouveaux dragons de l’Asie du Sud-Est. La Corée en est l’exemple parfait. Ce petit pays a pu en 40 ans à peine se faire un nom dans l’univers impitoyable de la haute technologie, de la construction automobile ou des microprocesseurs... Des noms comme LG, Daewoo, Samsung ou Hyundai sont là pour le rappeler.
Si ces entreprises sont aujourd’hui leaders dans leur domaine, c'est qu’elles ont fait des efforts de restructuration en profondeur ainsi que des investissements considérables de recherche et développement. La culture asiatique, qui privilégie l’ordre et la rigueur et l’humilité, semble avoir fait le reste.
Les résultats sont visibles et pas seulement en points de croissance. A Séoul, par exemple, c’est la vie telle qu'on la rêve ici au Maroc: des gens disciplinés, des villes propres, un service irréprochable, des bouchons mais pas de circulation chaotique ni de concerts de klaxons.
Certes, au vu du ralentissement de l’activité, la lucidité des Coréens comme d’autres pays semble avoir été prise en défaut. A la lumière de certains constats, le ralentissement paraît presque injuste. Aujourd'hui, la plupart de ces groupes redoutent la concurrence chinoise. La Chine reste le plus gros client et la plus grosse menace à la fois. Mais il y a toujours de bonnes idées à prendre dans ce pays où le code d'honneur est important même en entreprise.
D’abord celles du vrai dialogue social qui n’a pas ici de dissonance creuse. Il n’y a pas d’irresponsables qui agitent le spectre de l’explosion sociale parce que ça les arrange ou de sit-in sauvages où l’outil industriel est pris en otage. Dans une démarche qui pourrait apparaître bien atypique dans le contexte marocain, le principal syndicat du groupe Hyundai a proposé à ses employeurs des coupes dans les salaires pour faire face à la crise. Précision importante: la proposition émanait des représentants des salariés. Que nos syndicats marocains se rassurent, les patrons coréens ont également accepté de baisser leurs émoluments.
Les organisations coréennes frappent par leur complexité. Leur modèle économique est libéral mais semble enclin au dirigisme. Le cas Hyundai ne fait pas exception(1). Certes le conglomérat fondé par le mythique Chung Ju Yung, décédé en 2001, a faibli devant d'autres chaebols, notamment Samsung qui traduit mieux le rêve coréen. Mais l'histoire reste toujours belle à raconter.
La carte de la diversification lui a permis de s'en sortir. Entre les constructions de navires (plus gros chantier naval au monde), y compris les sous-marins et les bâtiments militaires, l'automobile, les centrales électriques, la robotique et les équipements de construction, l'enseigne n’a pas mis ses œufs dans le même panier. Le management ne cache pas un effet crise. Un ralentissement dans des proportions, quoi qu'on dise, qu'on n'aurait pas refusé au Maroc. L'activité chantier naval, implantée dans la ville d'Ulsan, qui abrite les principaux sites du groupe, n'a pas reçu de commande depuis le mois de janvier dernier. Il y a néanmoins suffisamment de gras pour travailler trois ans encore. A l'occasion de notre visite d'ailleurs, les ouvriers de Hyundai finalisaient la construction d'un navire destiné à CMA CGM, le groupe ayant repris la Comanav.
L’automobile a également réduit la cadence, mais ce que nous avons observé sur place comme rythme de production ferait pâlir d’envie le plus gros opérateur marocain. Qui peut en effet se targuer de produire une voiture toutes les minutes, de disposer d’un site industriel de 5 millions de m2 pour sa seule production automobile...Voilà quelques résultats d’une mutation qui tarde à se concrétiser au Maroc.

Mohamed BENABID

----------------------------------------------------------------------------------------------(1) Le groupe, à travers sa division heavy industries, a organisé un VIP tour auquel des hommes d’affaires ainsi que deux journaux marocains, L’Economiste et la Vie économique ont été conviés.
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Message  Admin Lun 15 Juin - 8:23

134 milliards dans une valise : trop gros pour être vrai

Les douaniers italiens ont trouvé dans les bagages de voyageurs japonais 134 milliards de dollars en bons du Trésor américain, soit 96 milliards d'euros. Malgré les apparences, cette découverte n'est pas si extraordinaire que ça.

Elle remonte au 3 juin. Au poste-frontière de Chiasso, les douaniers sont intrigués par deux Japonais en route vers la Suisse. Dans une valise à double fond, ils découvrent :

•249 bons de la Réserve fédérale américaine, valant chacun 500 millions de dollars.
•10 bons à l'effigie de John Kennedy, d'une valeur nominale d'un milliard de dollars.
Difficile de visualiser une telle fortune. Sur cette vidéo, mise en ligne par le quotidien suisse italophone Corriere del Tocino, le douanier brasse pourtant des milliards.

Petit détail : dans son communiqué, la douane italienne précise discrètement qu'une enquête est en cours « pour déterminer l'authenticité et l'origine » des bons.

S'ils sont authentiques, bingo ! Les voyageurs passant la frontière italienne doivent déclarer toute somme supérieure à 10 000 euros. Ou s'exposer à une amende représentant 40% du montant dissimulé.

Ce simple contrôle douanier pourrait donc faire gagner 38 milliards d'euros au gouvernement italien. Il Giornale a fait ses calculs : on pourrait par exemple « reconstruire cinq fois les Abruzzes », frappées par un tremblement de terre en avril.

Les Etats-Unis, eux, peuvent s'inquiéter. Un bon du Trésor, c'est une dette. Et avec leurs 134 milliards de dollars, deux Japonais inconnus seraient donc devenus les quatrièmes créanciers du pays, derrière la Russie mais devant le Royaume-Uni.

Info ou intox ?
L'affaire est donc sérieuse, mais elle était passée inaperçue des médias français. Le site de L'Expansion l'a signalée jeudi, suivi par celui du Nouvel Observateur, et l'AFP lui a enfin consacré une dépêche ce vendredi soir.

Les internautes ne les avaient pas attendus. Le blog Adscriptum s'y était intéressé dès lundi, et il y était revenu en détail mercredi :

« Une info tellement grosse qu'elle pourrait passer pour une intox, d'autant plus que personne n'en parle. »

L'info est effectivement grosse, mais ce n'est pas exactement une intox. La douane italienne a bien saisi des bons du Trésor américain ou, plutôt, des documents y ressemblant très fort. Tout est dans la nuance.

Une banale escroquerie
Ces bons sont-ils des faux ? Selon l'agence de presse financière Bloomberg, les Italiens attendent le verdict de la Securities and Exchange Commission, l'équivalent américain de notre Autorité des marchés financiers.

L'officier interrogé par Bloomberg ne laisse pas beaucoup de place au suspense :

•Les bons à 500 000 dollars sont datés de 1934, or les Etats-Unis n'en ont pas émis à cette époque.
•Ils n'ont jamais émis de bons à l'effigie de Kennedy.
Ce ne serait donc qu'une banale escroquerie. Et derrière ce montant spectaculaire de 134 milliards de dollars, la saisie effectuée par les Italiens n'avait rien d'exceptionnel.

Des agents secrets nord-coréens
Des porteurs de faux bons sont arrêtés régulièrement à la frontière italo-suisse. Les autorités suisses soupçonnent l'existence d'une filière organisée selon le principe de l'« arnaque nigériane » : soutirer de l'argent à des victimes naïves en les chargeant d'aller céder les bons en Suisse.

Les hypothèses circulant sur le Net depuis la saisie sont plus romanesques. Y compris sur le blog Alphaville du très sérieux Financial Times. Plusieurs de ses lecteurs voient dans l'affaire italienne un coup de Pyongyang contre Washington :

« J'ai entendu dire que ce n'était pas des Japonais, mais des agents nord-coréens avec de faux passeports. C'est une tactique habituelle des agents nord-coréens. »
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Message  Admin Lun 15 Juin - 9:53

La grippe porcine en dix questions

L'épidémie de grippe porcine qui frappe le Mexique se serait déjà propagé dans plusieurs pays. Mais que sait-on de ce virus ? Quels sont les dangers ? Comment s'en protéger ?...

Qu'appelle-t-on "grippe porcine" ?

Il s'agit d'une maladie respiratoire des élevages de porcs, un virus grippal de type A. Dans le cas présent, les virus isolés chez les malades sont des virus qui appartiennent à la famille A/H1N1. Ils ont donc initialement été transmis des porcs aux hommes. Il s'agit à l'origine d'une zoonose, maladie pouvant passer de l'animal à l'homme ou inversement.

La grippe porcine est-elle fréquente ?

Selon la Direction générale de la santé, il n'y a pas eu de cas en France ces dernières années. Il y a eu quelques cas sporadiques en Europe au cours des dernières décennies. Ces dernières années, sur le continent américain, les autorités ont confirmé un cas humain symptomatique tous les un ou deux ans, mais les personnes étaient presque toujours en contact direct avec des porcs infectés. Toutefois, l'infection chez des éleveurs de porcs malades est restée peu fréquente.

Pourquoi ce virus se révèle-t-il aujourd'hui ?

Il est difficile de répondre aujourd'hui à cette question, mais il semblerait que la souche de virus H1N1 survenue à Mexico soit différente des autres virus de grippe porcine, avec des marques génétiques inédites de porc, d'oiseau et d'homme.

On sait que le porc est capable d'être à l'origine d'un réassortiment génétique entre des virus humains et animaux. Les caractéristiques du porc sont proches de l'homme, ainsi la transmission de virus entre les deux est possible. Le porc aurait ainsi joué un rôle important dans les épidémies de grippe de 1957 et de 1968.

A l'inverse, les virus de la grippe aviaire se transmettent "mal", la barrière de l'espèce restant efficace.

Peut-on l'attraper en mangeant de la viande de porc ?

Non, aucun risque. Le virus de l'animal ne survit pas à la cuisson. Cette grippe d'origine porcine se transmet d'homme à homme par voie aérienne, de manière directe par le biais de la toux et des postillons ou de manière indirecte (par les mains, les objets touchés par une personne malade..). C'est pourquoi les autorités mexicaines ont recommandé le port de masques et limité les possibilités de rassemblement (annulation de spectacles, matchs de football et fermetures de bars, discothèques, établissements scolaires…).

Quels sont les symptômes de cette grippe ? Peu caractéristiques, les symptômes sont ceux d'une grippe classique : fièvre au-dessus de 39°C, courbatures, toux sèche, maux de tête et fatigue notamment.

Quels sont les pays concernés ? En dehors du Mexique, les Etats-Unis comptent plusieurs cas avérés (en Californie, au Texas…), tous guéris. Des cas suspects sont survenus à New York mais n'ont pas été confirmés. En Nouvelle-Zélande, dix lycéens de retour d'un séjour de trois semaines au Mexique auraient été touchés. En France, plusieurs cas suspects se sont finalement avérés négatifs pour le moment. En Israël et à Bogota, des analyses sur des voyageurs de retour du Mexique sont également en cours.

Quels conseils donner aux voyageurs ?

Les recommandations du ministère de la santé prévoient :

Avant le départ, le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes et le Ministère de la Santé appellent à la plus grande prudence pour tout déplacement non indispensable sur place. Il vous est recommandé de prendre contact avec votre médecin traitant ou avec un centre de vaccination international pour optimiser la préparation sanitaire de votre voyage et de prendre les renseignements sur les sites internet : Ministère de la santé, Ministère des affaires étrangères, Organisation Mondiale de la Santé, Ambassade de France à Mexico et Ministère de la santé mexicain (en espagnol).

Vous pouvez également contacter le numéro de la plateforme téléphonique Grippe aviaire au 0825.302.302 ou de l'étranger : 33 1 53 56 73 23 ou le numéro de la plateforme du Ministère des affaires étrangères au 01.45.50.34.60

Pendant le voyage, il est conseillé de vous conformer aux recommandations émises par les autorités sanitaires locales et notamment d'éviter les lieux de rassemblement public (salles de spectacles, réunions publiques, etc.) ; de respecter les règles d'hygiène élémentaire, notamment le lavage soigneux et régulier des mains avec de l'eau savonneuse ou des solutions hydroalcooliques, et l'aération des pièces dans lesquelles vous séjournez et d'éviter le contact avec les personnes malades.

Il est important de prendre rapidement contact si nécessaire avec le poste diplomatique et de consulter un médecin en cas de fièvre ou de symptômes grippaux (courbatures, toux, douleurs musculaires notamment).

Après votre retour. En cas de syndrome grippal dans les 7 jours qui suivent votre retour, il vous est recommandé de prendre immédiatement contact avec votre médecin traitant ou du Centre 15 de votre département (Tél. : 15).

Quelles sont les mesures mises en oeuvre au Mexique pour les ressortissants français ? L'Ecole française de Mexico s'est conformée aux décisions des autorités mexicaines de fermer l'ensemble des établissements scolaires dans le district fédéral. L'Ambassade de France à Mexico est dotée de stocks d'antiviraux et de masques. L'Ambassade est en contact avec le Ministère des Affaires Etrangères et la communauté française. Les ressortissants Français doivent donc, sur place :

Se conformer aux recommandations émises par les autorités sanitaires locales et notamment respecter les mesures-barrières/d'hygiène pour se protéger contre la grippe (éviter les contacts avec des personnes malades…) ;
Prendre contact avec leur poste diplomatique.
Existe-t-il des médicaments efficaces contre cette grippe ?
Selon le Directeur général de la santé, Didier Houssin, des tests américains effectués in vitro avec plusieurs médicaments disponibles semblent efficaces pour limiter la multiplication du virus et donc la durée de la maladie à condition d'être administrés dès l'apparition des symptômes :

Les inhibiteurs de la neuraminidase (zanamivir - Relenza ®️ - et oseltamivir - Tamiflu ®️) sont efficaces en réduisant l'intensité et la durée des symptômes s'ils sont administrés dans les 48 heures après l'apparition des premiers symptômes. Ces médicaments possèdent également une action préventive vis-à-vis de l'infection de la grippe.
La France dispose de 33 millions de doses de ces médicaments dans le cadre du plan de prévention d'une pandémie de grippe aviaire. Les antibiotiques, inactifs sur les virus, ne sont utilisés qu'en cas de surinfection bactérienne.

Existe-t-il un vaccin contre ce virus ?

Pour l'instant, il n'existe pas de vaccin contre ce nouveau virus. Selon les experts américains qui étudient ce virus, rien ne permet d'affirmer pour le moment que le vaccin contre le virus saisonnier soit efficace contre ce nouveau virus porcin.

C'est l'Organisation mondiale de la santé qui préparera et donnera la souche de référence aux industriels pour qu'ils puissent se lancer dans la fabrication d'un vaccin. Plusieurs semaines à plusieurs mois seront alors nécessaires avant la mise à disposition de ce vaccin.

David Bême, le 27 avril 2009
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Message  Admin Mer 17 Juin - 5:34

BAC 2009 : les délibérations sont en cours:

Le ministère de l’Education nationale s'apprête à livrer les résultats de la première session des épreuves du baccalauréat, qui se sont déroulées cette année les 2, 3 et 4 juin. Ces résultats seront disponibles sur menara.ma à l'adresse suivante : bac.menara.ma, dès qu’ils seront publiés par le ministère. Les étudiants pourront également recevoir leurs résultats sur leur téléphone mobile en envoyant leur CNE au 5454 au prix de 6dhs TTC. Le résultat est transmis par un message de retour.
Pour l'instant, les délibérations sont toujours en cours.. Retour sur les principaux chiffres de cette édition du bac : 315 718 candidats dont 154 512 filles (48,94%), 18 000 correcteurs mobilisés pour l’opération de correction des copies d’examens.

Plus de 315.000 candidats se sont présentés les 2, 3 et 4 juin aux épreuves du Baccalauréat au titre de l’année scolaire 2008/2009. Cet examen a enregistré cette année une hausse sensible des candidats en lice pour l’obtention du diplôme de fin des études secondaires, soit 4,77% de plus en comparaison avec l’année dernière. Concernant la session de rattrapage, elle aura lieu les 2,3 et 4 juillet prochain.

Le nombre des candidates s’élève à 154.521, représentant ainsi 48,94 % de l’ensemble des candidatures, et une hausse de 12,87 % en comparaison avec l’année dernière, précise un communiqué du ministère.

Les examens de cette année sont marqués par la mise en application du projet de développement du système d’évaluation et des examens notamment le volet relatif à l’amélioration de l’encadrement des candidats et la consécration de l’égalité des chances et ce conformément aux orientations du Programme d’urgence de l’éducation nationale 2009-2012.

Le nombre de candidats scolarisés dans l’enseignement public marocain a atteint 242.634, soit une hausse de 5,01 % par rapport à 2008, alors que le nombre des candidats scolarisés dans l’enseignement privé parallèle s’élevé à 13.733 contre 8.135 l’année précédente, soit une hausse de 40,76 %, précise-t-on.
Les candidats libres au Maroc sont au nombre de 59.351, soit 18,80 % de l’ensemble des candidatures.
Le ministère explique, par ailleurs, que les candidats des différents cycles de l’enseignement général sont les plus nombreux et représentent 91,57 % de l’ensemble des candidatures, contre 6,89 % pour l'enseignement technique, et 1,53 % pour l’enseignement original, soulignant que les candidatures littéraires sont au nombre de 142.032, contre 147.086 pour les scientifiques, soit respectivement 44,99 % et 46,59 % de l’ensemble des candidatures, alors que les candidats techniques s’élèvent à 21.765 et ceux de l’enseignement original à 4.835.

Les candidatures de l’enseignement scientifique et technique ont enregistré une croissance remarquable, soit respectivement une hausse de 7,54 % et 33,68 %, alors que celles de l’enseignement littéraire et original ont connu une régression soit respectivement une baisse de 0,50 % et 6,04 % par rapport à l’année précédente, selon la même source.

Sachez aussi que la correction des copies d’examens a mobilisé 18 000 enseignants-correcteurs qui ont bénéficié d’une formation spéciale.

MENARA

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BONNES CHANCES A TOUS NOS JEUNES CANDIDATS FUTURS FEMMES ET HOMMES DE DEMAIN.
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